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Dossier Mise à jour : 14/04/2009


Glissades, trébuchements et autres accidents de plain-pied



Trébucher, faire un faux pas... plus généralement perdre l'équilibre sur son lieu de travail peut arriver à tout le monde. Ce type d'événement très commun est souvent considéré comme bénin et inévitable. Pourtant, les conséquences de ces accidents sont aussi graves que celles des autres accidents du travail. Les accidents de plain-pied sont même parfois fatals. Pour prévenir ce risque, la sensibilisation est nécessaire, ainsi que le diagnostic afin de mettre en place des mesures de prévention adaptées à l'entreprise.



  Définition

Quelques chiffres

A l'origine de ces pertes d'équilibre
  Quelques facteurs matériels
Quelques facteurs organisationnels
Quelques facteurs individuels

Démarche de prévention
  Evaluation des risques
Information et formation des salariés
Mesures de prévention

Pour en savoir plus en quelques clics



Ce dossier présente des pistes pour la sensibilisation et la prévention du risque d’accident de plain-pied sur le lieu de travail. Il ne prétend pas apporter des solutions qui conviendraient à toutes les situations de travail. Comme pour tout autre risque, chaque entreprise est encouragée à engager une démarche de diagnostic, afin de faire émerger des actions de prévention adaptées aux situations de travail réelles.




Définition

Les glissades, trébuchements, faux-pas et autres pertes d'équilibre sur une surface "plane" sont regroupés sous l'expression "accidents de plain-pied", y compris s'il n'y a pas à proprement parler de chute (la victime peut avoir rétabli son équilibre).
Selon les cas, ne sont prises en considération que les surfaces ne présentant aucune rupture de niveau ou bien présentant des ruptures de niveau réduites (telles que trottoir, marches ou plan incliné).
Sont exclues de ce champ les pertes d'équilibre entraînant des chutes de hauteurs (du haut d'escabeau, d'échelles, d'échafaudages, etc.).



Quelques chiffres

Les accidents de plain-pied sont très fréquents et parfois très graves. En 2003, selon la Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS), ils ont représenté au sein du régime général de la Sécurité sociale :
  23% des accidents avec arrêt ;
20% des accidents ayant entraîné une incapacité permanente ;
19 décès.
Tous les secteurs d'activités sont touchés, et les circonstances sont extrêmement diverses. Les lésions engendrées peuvent être des contusions, des entorses, des plaies, des fractures…
En cas de perte d'équilibre, la victime peut tomber sur un objet dangereux ou chercher à se rattraper au support le plus proche. Les conséquences dépendront donc de la dangerosité de son environnement.
Même si la victime ne tombe pas, les lésions peuvent tout de même être graves.

Récit d'accident
La victime, un emballeur, se déplaçait devant une scie radiale. Elle a trébuché sur des morceaux de bois et s'est rattrapée sur la scie. Celle-ci était à l'arrêt mais la lame tournait encore par inertie. La lame lui a sectionné l'auriculaire droit.
Source : Epicea

459 accidents de plain-pied particulièrement graves (38% d’entre eux ont été fatals et 37% ont nécessité une hospitalisation) ont été analysés par l'INRS. Cinq classes d’accidents ont été identifiées, dont la caractéristique principale est relative à :
  l’utilisation de machines (44%) ;
la manutention manuelle ou mécanique (28%) ;
le déplacement (15%) ;
le ramassage des ordures ménagères (7%) ;
le travail sur chantier (6%).

Pour en savoir plus, consultez la note documentaire ND 2206.



A l'origine des accidents de plain-pied

Une perte d'équilibre est due à une combinaison de facteurs d'ordre matériel, environnemental, organisationnel et/ou individuel. Chaque facteur de risque pris isolément contribue peu à la survenue d'un accident de plain-pied. C'est la conjonction de plusieurs de ces facteurs qui rend une situation dangereuse.

Téléchargez l'arbre des causes d'un accident de plain-pied (fichier pdf, 19 ko).


  Quelques facteurs matériels et environnementaux
Parmi les principaux facteurs de risque d'ordre matériel et environnemental, on peut citer :
  la faible résistance au glissement des sols,
le mauvais état du sol,
les obstacles imprévus,
les chaussures inadaptées ou abîmées,
l'éclairement,
les systèmes d'accès aux véhicules et aux machines absents ou mal conçus.

Le facteur matériel le mieux connu des préventeurs est la faible résistance au glissement des sols (ou glissance). Un sol est d'autant plus glissant qu'il est lisse, mouillé et gras. Cependant, un sol rugueux est souvent plus difficile à entretenir, ce qui peut poser problème, notamment dans l'agroalimentaire et les milieux de soin. De plus, lorsque le sol est lavé, il peut rester mouillé un certain temps, et donc être glissant.

L'état du sol joue aussi son rôle : sol usé, trou, affaissement, décollement, plissement, changement de revêtement, etc. peuvent provoquer une perte d'équilibre.

Les obstacles imprévus peuvent aussi être à l'origine d'accidents de plain-pied.

Les chaussures portées par la victime peuvent se révéler inadaptées (trop lisses) ou abîmées. Dans certains cas, lorsque la glissance du sol ne peut pas être maîtrisée, il pourra être envisagé de fournir aux travailleurs des chaussures antidérapantes.

Si l'environnement d'un travailleur est mal éclairé il verra difficilement les obstacles, les changements de revêtements de sol, les pentes, les marches etc. et risquera de perdre l'équilibre. L'emplacement et la visibilité des interrupteurs joue aussi son rôle.

Les systèmes d'accès aux véhicules et aux machines interviennent également dans la survenue d'accidents de plain-pied.

 

Affiche INRS A 555

Il peut s'agir par exemple de marchepieds trop hauts, de largeur réduite, de marches peu profondes, de l'absence de rampe, etc.


Quelques facteurs organisationnels

Parmi les principaux facteurs de risque d'ordre organisationnel, on peut citer :
  les contraintes temporelles (travail dans l'urgence),
l'organisation temporelle des tâches (gestion des plannings),
le nombre de tâches à effectuer en même temps

Les contraintes temporelles induites par le mode de gestion du travail peuvent entraîner des comportements à risque pour "gagner du temps" : courir, porter plusieurs objets volumineux, prendre un raccourci, faire plusieurs choses en même temps...

L'organisation temporelle des tâches peut aussi contribuer à la survenue d'accidents de plain-pied. Par exemple lorsque l'activité de lavage des sols coïncide avec un changement d'équipe.

 

Affiche INRS A 408
Le nombre de tâches à réaliser en même temps a des conséquences sur l'attention allouée au maintien de l'équilibre. Ce maintien est un mécanisme complexe effectué en même temps que d'autres tâches, lesquelles peuvent être uniquement cognitives, ou bien motrices et cognitives.


Quelques facteurs individuels

Des facteurs individuels "amenés" par la situation de travail – tels que le non respect de consignes, la non détection de risque (par exemple lorsque l'attention est mobilisée par ailleurs) ou la méconnaissance de la situation de travail – peuvent aussi avoir un rôle dans une perte d'équilibre.

Les résultats des études quant à l'impact de l'âge sur la survenue d'accidents de plain-pied chez les actifs et en situation de travail sont controversés. Les études menées par l'INRS dans 4 entreprises ont montré que les agents jeunes ont été plus souvent victimes d'accidents de plain-pied que les agents plus âgés. Dans un cas, les situations de travail des agents jeunes étaient plus propices à la survenue d'accidents de plain-pied. Dans les autres cas, on peut s'interroger sur l'impact de la familiarité du lieu, de l'expérience ou encore de la prise de risque.

On peut considérer d’autres facteurs individuels tels que la consommation d'alcool ou de certains médicaments, la condition physique ou par exemple les antécédents d’entorse à la cheville. Cependant, aucune étude n'a exploré l'impact de ces facteurs sur la survenue d'accidents de plain-pied en situation professionnelle. Même si l'on peut s’interroger sur l’incidence de ces facteurs individuels sur la survenue d’accidents de plain-pied, il apparaît plus pertinent, dans une optique de prévention des accidents de plain-pied en entreprise, de mettre l’accent sur les nombreux autres facteurs d’accident identifiés.

Bien que des facteurs de risque d'accident de plain-pied aient été présentés ici de façon isolée, il est important de rappeler qu'un seul facteur contribue peu à la survenue d'un accident. Tout accident de plain-pied est la conséquence de la présence, à un moment donné, d'une combinaison de facteurs.

Témoignage : Stéphane, manutentionnaire sur les marchés
« Ce jour là, j'ai pas pris le temps de balayer. Faut dire qu'on était à la bourre, on avait pris du retard parce que notre camionnette était tombée en panne. J'ai pas fait attention et, évidemment, j'ai fini par glisser. J'ai essayé de me rattraper à un étal mais il n'était pas stable et un cageot de raisin m'est tombé dessus. J'avais honte : je savais bien qu'il y avait des déchets par terre ! Je n'aurais pas dû me dépêcher. Bien sûr, tout le monde s'est moqué de moi. J'ai rien dit mais en fait je m'étais quand même déplacé le bassin. »



Démarche de prévention

La prévention des risques professionnels s’appuie sur une démarche dont les principes généraux sont édictés par le Code du travail.

Principes généraux d’une démarche de prévention : principales obligations de l’employeur
  Eviter les risques ;
Evaluer les risques qui ne peuvent être évités ;
Combattre les risques à la source ;
Agir sur les conditions et l’organisation du travail (choix des équipements, des procédés, des substances…) ;
Prendre des mesures de protection collective en leur donnant la priorité sur les mesures de protection individuelle.
Former et informer les salariés sur les risques et leur prévention.
D'après les articles 4121-1 à 4121-5 du Code du travail

Le risque d'accident de plain-pied est un risque professionnel comme un autre à prendre en compte globalement, sans se focaliser uniquement sur les éléments matériels ni sur le comportement des salariés. La démarche de prévention doit avoir pour objectif de réduire le risque de perte d’équilibre mais aussi de limiter la gravité des lésions en cas de chute.
La sensibilisation des travailleurs et de l'encadrement est nécessaire, car ils n'y voient souvent que la fatalité et n'en mesurent pas la gravité.


  Evaluation des risques
L’évaluation des risques constitue le point de départ de la démarche de prévention qui incombe à tout employeur dans le cadre de son obligation générale de sécurité à l’égard des travailleurs.
Pour l’aider dans cette démarche, l’employeur peut notamment faire appel au Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et au médecin du travail.

Le succès de la démarche est conditionné par l'analyse des situations de travail réelles qui permet de faire ressortir et de prendre en compte leurs spécificités.

Sans diagnostic préalable, il n’est pas certain que traiter de manière arbitraire un facteur potentiel d’accident soit adapté et suffisant. Pour être efficace dans la prévention des pertes d’équilibre, il faut agir sur les facteurs de risque dont la combinaison peut s’avérer nuisible.

Au-delà de l’identification des facteurs immédiats d’accident, le diagnostic vise la compréhension de ce qui, à un moment donné, dans l’activité mise en œuvre, dans l’environnement, dans les contraintes de la situation de travail, a fait que l’individu n’a pas été en mesure de réguler son équilibre. Une analyse ergonomique ainsi que l’analyse a posteriori des accidents et des "presqu’accidents" survenus peut permettre de déterminer quels facteurs se combinent de façon récurrente dans une entreprise menant ainsi à des accidents de plain-pied.

Les résultats de l’évaluation des risques doivent être transcrits dans le document unique (article R. 4121-1 du Code du travail). Au-delà du strict respect de l’obligation réglementaire, ce document doit permettre à l’employeur d’élaborer un plan d’action définissant les mesures de prévention appropriées aux risques identifiés. Ces actions seront spécifiques aux situations de travail et donc à chaque entreprise.

Pour en savoir plus sur l'évaluation des risques, consultez le dossier correspondant.


Information et formation des salariés
La sensibilisation de l’ensemble des salariés est d'autant plus importante que le risque d'accident de plain-pied a tendance à être minimisé, banalisé ou mis sur le compte de la fatalité. Insister sur la fréquence et la gravité de ce type d'accident du travail est donc nécessaire. Les consignes ne peuvent être respectées que par des personnes conscientes du danger.

Des documents, affiches, etc. sont disponibles pour contribuer à la sensibilisation des salariés au risque d’accident de plain-pied. Cette sensibilisation sera d’autant plus efficace qu’elle tiendra compte des spécificités des situations de travail en intégrant des éléments concrets.
Les consignes de sécurité peuvent être rappelées par des affiches de l’INRS. Elles devront être placées de façon à être vues régulièrement par le plus de personnes possible et être remplacées périodiquement (une à deux fois par an).

Consignes générales pour limiter le risque d'accident de plain-pied
  Pas de précipitation !
Maintenir l'ordre matériel : une place pour chaque chose et chaque chose à sa place
Porter des chaussures adaptées
Pas de course d'obstacle sur les voies de circulation
Signaler les revêtements de sol endommagés ou souillés, les ampoules grillées…
Ces consignes sont très générales et peuvent se révéler peu opérationnelles. Par exemple, au-delà de la consigne « pas de précipitation », les raisons qui font qu’un individu se dépêche doivent être analysées pour faire émerger des actions de prévention adaptées.

L'employeur doit assurer la formation des travailleurs aux risques et à leur prévention, par exemple à la prévention des risques liés à l'activité physique (PRAP). D'autres formation peuvent être conçues en fonction des facteurs de risque mis en évidence dans l'entreprise.


Mesures de prévention
Ce paragraphe et le suivant listent quelques mesures générales de prévention techniques ou organisationnelles. Elles sont loin d’être exhaustives. Les facteurs de risque identifiés lors du diagnostic doivent être traités de manière prioritaire.

  Exemples de mesures de prévention techniques
Lors de la conception ou de la réfection d'un local de travail, le choix du revêtement de sol doit prendre en compte le risque de déséquilibre. Dans les zones où le sol est souvent gras ou humide, le revêtement devra être antidérapant. Par la suite il devra être maintenu en bon état : les zones endommagées seront signalées puis rapidement réparées.

Le sol devra rester aussi propre et sec que possible. La méthode d'entretien et les produits utilisés devront être choisis de façon à ne pas réduire ses propriétés antidérapantes.

Les revêtements de sol extérieurs doivent être prévus pour les intempéries. La neige doit être balayée et la glace sablée.
Si le sol reste malgré tout glissant, l'employeur doit fournir aux travailleurs des chaussures à semelles antidérapantes. Il faut cependant savoir que les chaussures qualifiées d’antidérapantes par les fabricants sont adaptées aux sols industriels durs lisses et gras. Elles ne seront donc pas nécessairement les plus antidérapantes lorsqu’il s’agit de travail sur chantier par exemple.

Il conviendra d'autre part de vérifier la dangerosité de l'environnement : une personne qui perd l’équilibre a le "réflexe" de se rattraper au premier objet venu, même s'il est dangereux ! Les parties sous tension et les mécanismes mobiles dangereux doivent donc être correctement encoffrés.

Les espaces de rangement doivent être accessibles et nombreux ainsi qu’adaptés aux objets à stocker.

Enfin, l'éclairement doit être suffisant sur les lieux de travail. Les interrupteurs doivent être visibles (donc lumineux) et accessibles. Les minuteries doivent être réglées pour que l'éclairage dure assez longtemps. Certaines zones, en particulier en cas d'absence de lumière naturelle, doivent être éclairées en permanence.

Exemples de mesures de prévention organisationnelles
Des mesures de prévention organisationnelles peuvent émerger de l’analyse des situations de travail. Ces mesures ont trait par exemple à :
  l’aménagement des horaires d'entretien des sols ;
au temps alloué pour le rangement et le nettoyage des postes de travail ;
à l’adéquation des délais avec le travail à réaliser…

Par ailleurs, la conception d'un plan de circulation dans une entreprise prend en compte de très nombreux critères. Dans le cadre de la prévention des accidents de plain-pied, on peut considérer que le signalement et l’éclairement des voies sont favorables.

Pour en savoir plus sur la circulation dans l'entreprise, consultez la brochure INRS "Le guide de la circulation en entreprise" (réf. ED 975).

Seront également favorables, la signalisation des obstacles, des zones humides, des marches dangereuses ou des ruptures de niveau. Les travailleurs chargés de l'entretien peuvent par exemple signaler les sols humides par des cônes.
 
Panneau signalant un sol mouillé
Reproduit avec l'autorisation de la Suva
De même, le remplissage systématique et détaillé du registre d’accidents, même en cas d’accident de plain-pied bénin peut permettre l’exploitation de ces informations à des fins de prévention.





Pour en savoir plus en quelques clics...

Documents INRS
GAUDEZ C., LECLERCQ S. "Accidents de plain-pied. Données statistiques nationales et analyses menées en entreprises" . TF 167. 2008, 15 p. (format pdf)
LECLERCQ S., TISSOT C. "Analyse des variables textuelles associées à 459 accidents de plain-pied particulièrement graves en situation professionnelle. Apports complémentaires à l’analyse de variables codées". ND 2235. 2005, 16 p. (format pdf)
LECLERCQ S., TISSOT C., SAULNIER H., CHAPOUTHIER A. "Les accidents de plain-pied en situation professionnelle". Le point des connaissances sur… ED 5030. 2005, 4 p. (format pdf)
LECLERCQ S., TISSOT C. "Les chutes de plain-pied en situation professionnelle. Circonstances de chutes particulièrement graves à travers l'analyse statistique de 459 cas". ND 2206. 2004, 16 p. (format pdf)
LECLERCQ S. "La sécurité vis-à-vis des glissades. Facteurs déterminant la résistance au glissement des sols". ND 2186. 2003, 8 p. (format pdf)
"Face aux accidents : analyser, agir". ED 833. 1999, 16 p. (format pdf)
LECLERCQ S. "Prévention des chutes de plain-pied. Synthèse des travaux et recommandations". ND 2068. 1997, 13 p. (format pdf)
LARANE A. "Dossier. Les sols glissants, cause majeure d'accidents du travail". Travail et sécurité, n° 629, mai 2003, 10 p. (format pdf)


Affiches de l'INRS
"Outils qui traînent…".
"Outils qui traîne, danger !".
"Désordre = accident".
"Chaque chose à sa place". A 332, A 595, A 473
"N'encombrez pas".
"Précipitation – accident ; Pondération - sécurité".
"Bien reposé, plus vigilant".
"Toujours réfléchir avant d'agir".
"En entreprise comme ailleurs je respecte les signaux et les consignes".
"Gardez les sols propres".
"Propreté, hygiène, sécurité (cuisinier)".
"Ne vous trompez pas de chaussures".
"En chaussures de sécurité… on est toujours bien".


Vidéo INRS

"Petites chutes et conséquences". DV 0331. 2005


Formation INRS

"Analyser les accidents et incidents par la méthode de l'arbre des causes". J005
Formation des animateurs-formateurs PRAP


Sites de référence
"Gare aux faux pas !". Caisse nationale d'assurance en cas d'accident (Suva / Suisse)
http://www.suva.ch/fr/home/suvapro/fachthemen_uebersicht/lueg_ufe_waeg.htm
"L'entretien pour la prévention des glissades et chutes de plain-pied". Institut de recherche Robert Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST / Québec / Canada)
http://www.qinc.ca/entretien/index1.html
"Prévention contre les chutes. Comment éviter de glisser, de trébucher et de tomber". Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST / Canada)
http://www.cchst.ca/reponsessst/safety_haz/falls.html
"Prévention des glissades, des faux-pas et des chutes sur les lieux de travail". Facts n° 14, Agence européenne pour la santé et la sécurité du travail, 2001, 2 p. (format pdf, 130 ko)
http://osha.europa.eu/publications/factsheets/14




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