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Les controles qualité sur IRM

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Frédéric Francelle
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Laurent Muller
Référence à rappeler : Titre de l'étude, Auteur 1, auteur 2, auteur 3..., Projet (ou Stage), Certification Professionnelle ABIH, UTC, 200?-200?
URL : http://www.utc.fr/abih ; Université de Technologie de Compiègne

RESUME

Notre projet montre la situation actuelle du parc IRM français et des contrôles qualité effectués sur ces machines. Ensuite, en se référant à la norme NF EN 62464-1-2007, nous effectuons des recommandations sur la mise en place et la fréquence de ces contrôles qualité par le service biomédical. 

Mots clés :IRM, norme, contrôles qualité, biomédical 


ABSTRACT

Our project shows the current status of the French fleet MRI and quality control performed on these machines. Then, referring to the standard NF EN 62464-1-2007, we make recommendations on the implementation and the frequency of these quality controls by the biomedical service.

Key words :MRI, standard, quality controls, biomedical

Remerciements

M. Gilbert FARGES, enseignant chercheur, responsable de la formation Assistant Biomédical en Ingénierie Hospitalière à l’ Université Technologique de Compiègne.
M. Pol-Manoël FELAN, responsable pédagogique de la formation Assistant Biomédical en Ingénierie Hospitalière à l’Université Technologique de Compiègne.
Mme Claire Imbaud, ingénieur d’études-génie biologique à l’Université Technologique de Compiègne.
Mme Cristina Bertini, ingénieur imagerie-DSI au CHU de Bordeaux.
Mr Eric Vivier, ingénieur technique IRM, société Siemens.
Mme Hind Bouk’hil, directeur-spécialiste "qualité et sécurité en IRM-SRM ", société Spin Safety.
Mr Sébastien Savard, spécialiste produits IRM, société GE healthcare technologies.
Ainsi que les intervenants et tous les ingénieurs et techniciens biomédicaux qui ont bien voulu répondre à notre enquête, ce qui nous a permis de mener à bien notre projet d’intégration.

Sommaire

I.      Introduction. 6

a.     Les métamorphoses de l’IRM

b.     Application clinique

c.     Etat du parc Français

d.     Principe de fonctionnement

e.     Enjeux. 17

II.    Problématique. 17

a.     Les normes. 18

b.     Questionnaire

c.     Conclusion du sondage. 24

d.     Comparaison avec l’étranger 24

e.     Etat actuel des contrôles qualité en France. 24

f.      Schéma de fonctionnement sans contrôle qualité indépendant 25

III.  Proposition d’amélioration. 26

a.     Outils proposés au service biomédical 26

b.     Modèle de contrôle qualité existant  en fonction de l’utilisation de l’IRM 27

c.     Proposition d’organisation et de coordination entre les différents intervenants 28

d.     Schéma de fonctionnement après mise en place des contrôles qualité indépendants à l’aide des outils cités au chapitre III.a. 29

IV.   Conclusion. 29

V.     Illustration. 30

a.     Bibliographie. 30

b.     Les Figures. 31

c.     Les tableaux. 31

VI.   Annexe 1 : Questionnaire. 32


 I. Introduction
    
De nos jours, de nombreux organismes sont confrontés aux exigences de la qualité.
Garantir un contrôle qualité sur les dispositifs médicaux est devenu nécessaire afin de garantir la sécurité des patients et obtenir leur confiance ainsi que celle des médecins lors de leurs diagnostics. La sécurité et parfois la vie des patients est liée au bon fonctionnement de ces dispositifs médicaux.


a.Les métamorphoses de l’IRM

IRM année 80           IRM compiegne 2011
                                                                                                                                            Figure 2 : IRM années 1980            Figure 1 : IRM du CH de Compiegne 2011                                                            

Depuis son invention, à la fin des années 1960 par Raymond Damadian, puis son perfectionnement en 1973 par  Paul Lauterbur et  Peter Mansfield[1] « tous deux Prix Nobel de médecine 2003 » l’imagerie par résonance magnétique (IRM) n’a cessé de progresser.
Elle parvient maintenant à des résolutions très fines, inférieures au mm3, et peut être utilisée pour obtenir des images anatomiques, fonctionnelles ou même moléculaires du cerveau. Des progrès dus surtout à de nouveaux détecteurs, aux améliorations informatiques de l’acquisition des données et à des champs magnétiques plus intenses.[2]


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b. Application clinique

L’imagerie médicale est utilisée pour l’exploration des pathologies :[2]
 Les AVC sont des affections fréquentes et graves. Ils représentent, dans les pays développés, la première cause de handicap acquis chez l'adulte, la deuxième cause de démence après la maladie d'Alzheimer et la troisième cause de décès après l'infarctus du myocarde et les cancers.
Chaque année en France, on compte environ 120 000 patients victimes d'un AVC. Parmi ces nouveaux cas, on estime que 30 000 vont mourir dans les jours ou les mois qui suivent et 60 000 vont garder un handicap de sévérité variable.
Actuellement, près de 400.000 Français vivent avec les séquelles d'un tel accident.


occurrence des AVC
Figure 3 : occurrence des AVC

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c. Etat du parc Français



Nombre d’irm installés en France
  Figure 4 : Nombre d’irm installés en France.





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Nombre d’irm installés en France
Tableau 1 : Nombre d’irm installés en France.








Nombre d’irm/million d’habitants
Tableau 2 : Nombre d’irm/million d’habitants.
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 Figure 5 : Nombre d’irm/million d’habitants.
Figure 5 : Nombre d’irm/million d’habitants.







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Nombre d’unités d’IRM par million d’habitants 2007
  Figure 6 : Nombre d’unités d’IRM par million d’habitants 2007





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Délai d’attente moyen
Figure 7 : Délai d’attente moyen.
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d. Principe de fonctionnement


La technique d'IRM est basée sur l'emploi d’un champ magnétique et d'ondes radio. [3][4]

proton d’hydrogène 
Figure 8 : proton d’hydrogène


Elle repose sur la propriété du noyau des atomes d’hydrogène, de pouvoir se comporter comme une toupie aimantée dans certaines conditions.


Ces atomes sont présents partout dans notre corps : dans l'eau (qui compose plus de 60% de notre organisme) et dans les graisses, en quantité différente suivant les tissus.

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Alignement des protons
Figure 9 : Alignement des protons

Le noyau de l'atome d'hydrogène ne contient qu'un seul proton de faible champ magnétique qui mis en excitation dans un fort champ magnétique, se comporte comme l’aiguille d’une boussole indiquant  la direction du champ magnétique terrestre.

Ligne de champs de force
Figure 10 : Ligne de champs de force
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Ce fort champ magnétique est dû à un gros aimant en forme de tunnel à l’intérieur duquel rentre le patient.





le phénomène de Résonance magnétique 
Figure 11 : le phénomène de Résonance magnétique


Chaque proton, décrit un mouvement oscillatoire de rotation qui s'effectue avec une fréquence bien précise.
En émettant, grâce aux antennes émission/réception de "l'appareillage IRM", des ondes électromagnétiques de même fréquence, on excite les noyaux d'hydrogène et perturbe l'état d'équilibre du système :
C'est le phénomène de résonance.
 
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Résonance du proton d’Hydrogène
Figure 12 : Résonance du proton d’Hydrogène

Ces ondes sont émises sous forme d'impulsions très brèves. Après chaque impulsion, les protons restituent l'énergie accumulée pendant leur excitation, en produisant un signal réceptionné par les antennes.
Ce signal dépendant étroitement de la concentration en eau des molécules environnantes, on peut ainsi distinguer chaque tissu.

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Schéma des différentes antennes
Figure 13 : Schéma des différentes antennes




Les antennes sont reliées à des ordinateurs qui traitent les signaux afin de reconstruire des images du tissu ou de l'organe analysé en deux dimensions ou en trois dimensions. La précision des images étant inférieure au millimètre, la technique permet de révéler à un stade précoce un grand nombre d'anomalies invisibles à ce stade en radiographie "classique", en échographie ou avec un scanner.












e.    Enjeux
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les objectifs
Figure 14 : Les objectifs













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II.    Problématique

a.    Les normes

La norme CEI 62464-1-20073 [5]
◦    Fabricants
◦    Laboratoires d’essai
◦    Autorités de réglementation
◦    Organismes responsables qui souhaitent effectuer des essais d’acceptation et de constance sur la base des méthodes décrites dans la présente norme.

◦     le rapport signal/bruit,
◦     l’uniformité,
◦     l‘épaisseur et le profil de coupe,
◦     la distorsion géométrique,
◦     la résolution spatial, et
◦     les fausses images


La norme s’adresse donc au service biomédical qui a la gestion des dispositifs médicaux de l’hôpital.



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b. Questionnaire :[annexe 1]

Afin de déterminer le degré d’implication des services biomédicaux dans la gestion opérationnelle de l’IRM, nous avons envoyé un questionnaire par mail à 64 ingénieurs biomédicaux en France.

Sur les 64 questionnaires, 11 réponses ont pu être exploitées :

Pourcentage de réponses
Figure 15 : Pourcentage de réponses



A cette question, 8 ont répondu Oui et 3 ont répondu Non
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Des contrôles qualité sont-ils effectués sur les IRM
Figure 16 : Réponses questionnaire : Des contrôles qualité sont-ils effectués sur les IRM ?



A cette question :
-    6 ont répondu : par le constructeur
-    1 a répondu : par le constructeur et le service biomédical.
-    1 a répondu : par le constructeur et les manipulateurs.
  
                            
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Par qui sont effectués les contrôles
Figure 17 : Réponses questionnaire : Par qui sont effectués les contrôles ?

On peut ainsi se rendre compte que le constructeur effectue majoritairement les contrôles qualité sur les IRM lors des maintenances préventives.

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A cette question les avis diverges : 4 ont répondu Oui, 4 ont répondu Non et 2 ne se prononcent pas.

 Pensez vous qu’il serait opportun de mettre en place des contrôles qualité
Figure 18 : Réponses questionnaire : Pensez vous qu’il serait opportun de mettre en place des contrôles qualité ?



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Nous n’avons recueilli que 8 réponses.
Elles vont de 1 à 52 fois par an.

Nombre de contrôles Qualité par an en fonction des établissements
Figure 19 : Réponses questionnaire : Nombre de contrôles Qualité par an en fonction des établissements.

Nous pouvons constater de gros écarts entre les différentes réponses.
Cela va de 1 contrôle par an à 1 contrôle par semaine .


Il y a beaucoup de différences d’un établissement à l’autre .
Ce qui revient le plus souvent c’est l’homogénéité et l’efficacité des antennes « émission/réception ».

Certain établissements disposent de référents qui effectuent eux mêmes leurs contrôles en plus de ceux effectués par le constructeur, d’autres souhaiteraient éventuellement une harmonisation des contrôles Qualité.

Il n’y a donc pas de similitude entre les différents établissements.
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c. Conclusion du sondage

Nous observons que la majorité des contrôles qualité est réalisée par les constructeurs et ce principalement lors des maintenances préventives.
Cependant, un site se distingue des autres par la fréquence élevée de ses contrôles suite à une dérive détectée par un chirurgien lors d’un examen préopératoire.


d. Comparaison avec l’étranger

Aux USA, l’accréditation des services IRM par l’ACR ( American college of radiology) impose des contrôles réguliers (annuels, hebdomadaires et même quotidien) de la qualité diagnostique et technique des images. [6]




e. Etat actuel des contrôles qualité en France

Le constructeur effectue 3 à 6 maintenances préventives par an suivant le type de machine. Lors de celles-ci, il effectue des contrôles de performance à l’aide d’objets tests.

En dehors de ces maintenances sur site, les paramètres machine peuvent être vérifiés à distance si besoin par le centre de télémaintenance constructeur.



f. Schéma de fonctionnement sans contrôle qualité indépendant.
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: Schéma global des contrôles de performance et maintenances sur IRM
Figure 20 : Schéma global des contrôles de performance et maintenances sur IRM

En plus de ces maintenances, il conviendrait d’effectuer des contrôles qualité pouvant prévenir un dysfonctionnement de l’appareil par le suivi attentif et régulier des paramètres de qualité et de leur dérives insidieuses car parfois lentes et donc difficilement détectables à l’œil humain.
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III. Proposition d’amélioration

a. Outils proposés au service biomédical

1)    La formation technique délivrée par le constructeur permettant d’effectuer des contrôles de niveau 1 et 2, des interventions ainsi que des maintenances partagées. (niveau 1 : contrôle brut, niveau 2 : Diagnostic)

2)    Acquisition d’objets tests standards ou sur mesure et de protocoles définis par l’action concertée européenne Comac-BME II.3/1 CEE ( Génie biomédical comité d’action concertée européen) en 1988. Les protocoles comprennent trois familles :

•    les paramètres de signal,
•    les paramètres géométriques,
•    les paramètres résonance magnétique nucléaire (RMN),

 ils représentent le calcul de 26 valeurs-tests  [7]

3)    Utilisation d’un logiciel indépendant du système d’exploitation qui analyse automatiquement les images obtenues avec des objets tests sur l’ensemble des imageurs. Ce type de logiciel permet une traçabilité complète.
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outils proposés au service biomédical
Figure 21 : Outils proposés au service biomédical






b. Modèle de contrôle qualité existant  en fonction de l’utilisation de l’IRM :

Les objets tests de contrôle qualité et les protocoles associés doivent être utilisés en fonction de l’activité du site :
-    Chirurgie,
-    Examen clinique simple,
-    Recherche.
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:Contrôles qualité en fonction de l'utilisation de l'I.R.M
Figure 22 :Contrôles qualité en fonction de l'utilisation de l'I.R.M
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c. Proposition d’organisation et de coordination entre les différents intervenants :


L’utilisateur aura plus de facilités à effectuer ces contrôles qualité qu’ils soient journaliers, hebdomadaires ou mensuels de part sa situation géographique mais également de par sa connaissance du matériel en mode utilisateur.
                 
Coordination des intervenants
Figure 23 : Coordination des intervenants
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d. Schéma de fonctionnement après mise en place des contrôles qualité indépendants à l’aide des outils cités au chapitre III.a. :

schéma de fonctionnement après mise en place des contrôles qualité
Figure 24 : schéma de fonctionnement après mise en place des contrôles qualité


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IV. Conclusion

Le contrôle qualité en IRM se justifie dans le cadre d’une démarche sécuritaire préventive, mais aussi financièrement au regard du bénéfice induit par la différence entre le coût inhérent à un incident potentiel et le coût du contrôle préventif en lui-même.
De plus, nous avons vu précédemment qu’une dérive avait été détectée par un chirurgien avant une opération. Cela a eu pour conséquence l’annulation de celle-ci. Une dérive non détectée sur une exploration crânienne ou une stéréotaxie pourrait avoir de lourdes conséquences pour le patient d'où l'intérêt d'effectuer des contrôles réguliers .

Le service biomédical qui a la gestion des dispositifs médicaux de l’hôpital, doit être l’acteur principal de cette démarche qualité.








V. Illustration



a. Bibliographie

  [1] Encyclopédie historique des neurosciences: Du neurone à l'émergence de la pensée pp598

  [2] groupe d’imagerie Medical Monjoie www.rim-radiologie.fr (consulté le 15/02/2011)

  [3] Comprendre l'IRM: Manuel d'auto-apprentissage

        Par Bruno Kastler, Daniel Vetter, Editions  Masson

  [4] L'irm Pas a Pas: D.Hoa, A.Gahide, E.LeBars, P.Taourel

        Edition Noir&Blanc 

  [5] Appareils à résonance magnétique pour imagerie médicale Norme AFNOR NF 62464-1:2007 (janvier 2007)

  [6]J.Rousseau, M.Vermandel, P.Bourel « contrôle de qualité en IRM :motivation, méthodes et pratiques ».Editions scientifiques et médicales Elsevier SAS, 2002.23 :276-284.

  [7] Les 11e journées d’études de l’AFIB (revue AFIB TH700 nov-dec 2006)
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b. Les Figures

Figure 1 : IRM du Centre Hospitalier de Compiègne  . 4

Figure 2 : IRM années 1980, www.biuintra.univ-bpclermont.fr consulté le 3 mars 2011. 5

Figure 3 : occurrence des AVC . 6

Figure 4 : Nombre d’irm installés en France. Etude 2010 CEMKA-EVAL pour Imagerie Santé Avenir. www.sfrnet.org  consulté le 21 février 2011 . 7

Figure 5 : Nombre d’irm/million d’habitants. Etude 2010 CEMKA-EVAL pour Imagerie Santé Avenir. www.sfrnet.org  consulté le 21 février 2011  . 8

Figure 6 : Nombre d’unités d’IRM par million d’habitants,2007 www.oecd-ilibrary.org consulté le 15 mars 2011. 9

Figure 7 : Délai d’attente moyen. Etude 2010 CEMKA-EVAL pour Imagerie Santé Avenir. www.sfrnet.org  consulté le 21 février 2011  . 10

Figure 8 : proton d’hydrogène  . 11

Figure 9 : Alignement des protons. 12

Figure 10 : Ligne de champs de force. 12

Figure 11 : le phénomène de Résonance magnétique . 13

Figure 12 : Résonance du proton d’Hydrogène. 14

Figure 13 : Schéma des différentes antennes. 15

Figure 14 : Les objectifs. 16

Figure 15 : Pourcentage de réponses. 18

Figure 16 : Réponses questionnaire : Des contrôles qualité sont-ils effectués sur les IRM ?  19

Figure 17 : Réponses questionnaire : Par qui sont effectués les contrôles ?. 20

Figure 18 : Réponses questionnaire : Pensez vous qu’il serait opportun de mettre en place des contrôles qualité ?. 21

Figure 19 : Réponses questionnaire : Nombre de contrôles Qualité par an en fonction des établissements. 22

Figure 20 : Schéma global des contrôles de performance et maintenances sur IRM.. 24

Figure 21 : Outils proposés au service biomédical 25

Figure 22 :Contrôles qualité en fonction de l'utilisation de l'I.R.M.. 26

Figure 23 : Coordination des intervenants. 27

Figure 24 : schéma de fonctionnement après mise en place des contrôles qualité. 28

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c. Les tableaux

Tableau 1 : Nombre d’irm installés en France. Etude 2010 CEMKA-EVAL pour Imagerie Santé Avenir. www.sfrnet.org  consulté le 21 février 2011

Tableau 2 : Nombre d’irm/million d’habitants. Etude 2010 CEMKA-EVAL pour Imagerie Santé Avenir. www.sfrnet.org  consulté le 21 février 2011


VI.   Annexe 1 : Questionnaire

1/  Des controles qualite sont-ils effectues sur les IRM ?
"effacer la mention inutile"

        - Oui

        - Non



2/ Si oui, sont-ils effectues par :
"effacer les mentions inutiles"

       - le  constructeur
       - le service biomedical
       - le manipulateur radio
       - autre : précisez


3/ Si non, pensez vous qu il serait opportun de mettre en place des controles qualités sur les IRM ?
"effacer la mention inutile"

        - Oui "pourquoi ?"

        - Non "pourquoi ?"



4/ Quelle est la frequence des controles ?



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5/ Quels types de controle sont effectues ?







6/ Vous pouvez apporter vos suggestions si vous le souhaitez !





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