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Les étudiants au salon de l'innovation alimentaire

Plu­sieurs étu­diants et diplô­més de l'UTC étaient pré­sents au salon de l'innovation ali­men­taire qui s'est tenu les 1er et 2 décembre à Paris.

Hush

La pre­mière bois­son gour­mande aux fruits qui vous réchauffe. Après avoir déve­lop­pé leur pro­duit et son concept pen­dant un an au sein des modules d'enseignement de l'UTC de la filière Inno­va­tion Ali­ments Agro­res­sources du dépar­te­ment Génie Bio­lo­gique et du dépar­te­ment Tech­no­lo­gie et Sciences Humaines, Jus­tine Patin, Bap­tiste Pon­treau, Camille Paul, Aurane Lher­bier, Méla­nie Abherve-Gue­guen, Cor­né­lia Garau­del ont gagné en juin 2018 le tro­phée d'or au concours Eco­tro­phé­lia France. Ils repré­sen­taient ain­si la France au concours Eco­tro­phé­lia Europe 2018 au sein du SIAL. Après une pré­sen­ta­tion et une dégus­ta­tion devant un jury d'experts inter­na­tio­naux, ils ont été décro­chés du prix spé­cial du jury 'coup de cœur', men­tion inno­va­tion par­mi 17 équipes participantes. 

Algama

Cette star­tup ambi­tionne d'incorporer les microalgues, une res­source nutri­tive et éco­lo­gique, dans notre ali­men­ta­tion. Cela fait main­te­nant 4 ans que Maxime Pec­quet diplô­mé en 2014, par­ti­cipe à ce beau pro­jet en tant que déve­lop­peur pro­duit. Que ce soit de la régle­men­ta­tion, en pas­sant par la qua­li­té et la for­mu­la­tion, il a eu l'occasion de valo­ri­ser cette res­source pro­met­teuse dans des appli­ca­tions diverses et variées. Les sauces veganes The Good Spoon en sont un par­fait exemple. Réa­li­sées sans oeufs et allé­gées à 60% en matières grasse, cette gamme est le par­fait exemple que l'on peut amé­lio­rer les pro­duits du quo­ti­dien en s'aidant des microalgues. 

Smeal

est une start-up qui déve­loppe des repas équi­li­brés et goû­teux sous des for­mats inno­vants de poudre à réhy­dra­ter, barre céréa­lière, prêt-à-boire. Pra­tiques, ils répondent aux besoins nutri­tion­nels des actifs spor­tifs en termes de macro et micro-nutri­ments. Leur faible index gly­cé­mique per­met d'avoir de l'énergie en conti­nu et d'assurer son effort phy­sique ou sa jour­née. Elo­die Ma, diplô­mée en 2015, est Chief Tech­no­lo­gy Inno­va­tion Offi­cer chez Smeal : for­mu­la­tion, pros­pec­tion de par­te­naires, indus­tria­li­sa­tion, véri­fi­ca­tion de la régle­men­ta­tion, elle s'occupe du déve­lop­pe­ment des pro­duits de leur for­mu­la­tion en labo­ra­toire à leur mise sur le marché. 

Les nouveaux affineurs

Ali­cia Derand a par­ti­ci­pé lors de son stage de fin d'étude au déve­lop­pe­ment d'une nou­velle gamme d'alternatives végé­tales aux fro­mages au sein de la start-up Les Nou­veaux Affi­neurs. Ces pro­duits inno­vants et gas­tro­no­miques sont appe­lés "affi­nés végé­taux". Exempts de lait et par consé­quent adap­tés aux régimes végé­ta­lien et sans lac­tose, ils sont com­po­sés de noix de cajou et de soja, ce qui per­met de réduire leur empreinte envi­ron­ne­men­tale. La maî­trise de la fer­men­ta­tion des matières pre­mières végé­tales et de leur affi­nage per­met de retrou­ver des saveurs carac­té­ris­tiques du fro­mage français. 

La boulangère

Rachel San­nier, diplô­mée en 2017 et chef de pro­jets R&D Filière Pain au sein de l'entreprise La Bou­lan­gère, a par­ti­ci­pé au déve­lop­pe­ment de pains de mie BIO nature et com­plet.
Ces pro­duits ont été déve­lop­pés avec une démarche équi­table et locale avec farines de blé bio­lo­giques fran­çaises et sans huile de palme. 

Silya­na Sal­mi, étu­diante en pre­mière année du mas­ter ingé­nie­rie de la san­té, a rem­por­té avec son équipe le prix coup de cœur du jury du concours Hibs­ter d’Eurasanté.

Au sein de l'équipe Cou­sin Bio­tech, Sylia­na a tra­vaillé sur la concep­tion d'une tech­nique de recons­truc­tion liga­men­taire per­son­na­li­sée uti­li­sant l'impression 3D et les maté­riaux bio cellulaires.

Une très bonne expé­rience pour l'étudiante de mas­ter : " c'était un week-end très enri­chis­sant, cela m'a per­mis de faire connais­sance avec des étu­diants venant d'horizon tota­le­ment dif­fé­rents. Je suis très heu­reuse d'avoir repré­sen­té l'UTC, qui par­ti­ci­pait pour la pre­mière fois au pro­jet HIBSTER."

Pour répondre au chal­lenge lan­cé par MBDA «Catch the Drone Chal­lenge», les étu­diants de l’UTC, Alexandre Bon­ne­fond, Agathe Regnier, Flo­rian Hérouard, Cris­ti­no de Sou­za Junior, ont consti­tué une équipe inter­dis­ci­pli­naire nom­mée DFence.

5 étu­diants ont rem­por­té le prix du jury lors du hacka­thon "Vol­vo x Hack Sprint", qui s'est tenu du 23 au 26 novembre à Göte­borg, en Suède.

Les cinq étu­diants, tous membres de l'association Data­Ven­ture (asso­cia­tion visant à mettre en valeur la data science, le machine lear­ning et l’intelligence arti­fi­cielle), se sont ins­crits au concours suite à l'invitation d'un diplô­mé UTC en poste chez Vol­vo, et ont reçu le sou­tien de la Direc­tion de l'innovation et du déve­lop­pe­ment territorial.

L'événement ras­sem­blait une cen­taine d’étudiants et de pro­fes­sion­nels du monde entier (Japon, Chine, Aus­tra­lie, Ukraine…). L'équipe a tra­vaillé pen­dant 4 jours sur la pro­blé­ma­tique du contrôle de l’usure des pièces de pelles méca­niques. Le défi était de pro­po­ser une appli­ca­tion mobile per­met­tant de contrô­ler et suivre faci­le­ment l’usure des chenilles. 

Manuel Her­nan­dez a rem­por­té le Prix Pos­ter lors des Jour­nées UGéPE 2018 se dérou­lant à Vil­le­neuve d'Ascq les 20 et 21 novembre.

Manuel a pré­sen­té à cette occa­sion une par­tie de ses tra­vaux de thèse, effec­tuée avec la socié­té Easy­mé­tha et co-enca­drée par Thier­ry Ribei­ro (Uni­La­Salle) et André Pauss, pro­fes­seur au sein du labo­ra­toire TIMR, por­tant sur l'impact du broyage de la paille de blé sur la ciné­tique et la pro­duc­tion de méthane à l'échelle laboratoire.

Same­di 17 novembre 2018 s'est dérou­lé le 31è Prix Rober­val au théâtre impé­rial de Com­piègne, dont les lau­réats, coups de cœur et les men­tions spé­ciales du Jury ont été attri­bués à :

  • L'œuvre d'Etienne Guyon, José Bicot, Etienne Reys­sat et Benoît Roman, "Du mer­veilleux caché dans le quo­ti­dien", chez Flam­ma­rion est lau­réate de la caté­go­rie "Grand Public"
  • Guillaume Pitron a reçu un Coup de cœur des médias pour "La guerre des métaux rares. La face cachée de la tran­si­tion éner­gé­tique et numé­rique", Paris (France) : Les liens qui libèrent.
  • Le repor­tage de Mar­tin Gorst, "Le nou­veau sar­co­phage de Tcher­no­byl", Londres (Angle­terre) : Nova, Wind­fall Films, avec la par­ti­ci­pa­tion de France Télé­vi­sions, BBC, WGBH Bos­ton, PBS, NHK, N24 est lau­réat de la caté­go­rie "Télé­vi­sion ".
  • Pas­cal Gue­rin pour son repor­tage inti­tu­lé "Le mys­té­rieux vol­can du moyen-âge", Meu­don (France) : KWANZA pro­duc­tions + CNRS Images + ARTE a reçu une men­tion spé­ciale du Jury.
  • Cette année le Liban était à l'honneur et le coup de cœur de l'Université Liba­naise a été décer­né à Yves Lévesque et Binh An Vu Van pour leur repor­tage inti­tu­lé "For­çage géné­tique", radio Canada.
  • Natha­lie Lafargue et Jean-Noël Lafargue pour leur livre inti­tu­lé "Copain des geeks", Tou­louse (France) : Édi­tions Milan sont lau­réats de la caté­go­rie "Jeu­nesse".
  • Le coup de cœur de l'Académie des tech­no­lo­gies revient à Fré­dé­ric Cou­rant, Julie Des­riac et Mel­vin Mar­ti­neau pour "Intel­li­gence arti­fi­cielle – L'algorithme dans la peau", Paris (France) : L'esprit sorcier.
  • Les lau­réats de la caté­go­rie "Jour­na­lisme scien­ti­fique" sont Patrick Mar­cel­lin et Pierre Kal­dy pour l'article "L'hépatite C bien­tôt vain­cue ?" paru dans Pour la Science.
  • Le jury du prix Rober­val a remis une seconde men­tion spé­ciale à Oua­bouè Bakouan pour son émis­sion inti­tu­lé "Le bio­di­ges­teur ou la science au ser­vice de l'homme", Bobo-Diou­las­so (Bur­ki­na Faso) : Som­da Ger­vais MDA.
  • Le coup de cœur des étu­diants de l'UTC a été décer­né à Lucile Morin pour son article "Tout ce qu'on peut faire avec la soie d'araignée" paru dans le maga­zine Ça m'intéresse.

En savoir plus sur le site officiel

Le Réseau Europe Recherche Inno­va­tion s’est réuni le 8 novembre au Centre d’Innovation de l’UTC pour une jour­née riche en infor­ma­tions et échanges

Le Réseau Europe Recherche Inno­va­tion (RERI) a été créé en 2014 avec pour objec­tif de faire mon­ter en com­pé­tences l’écosystème d’accompagnement de pro­jets euro­péens de recherche et d’innovation, afin d’augmenter la par­ti­ci­pa­tion des acteurs régio­naux dans ces pro­jets. Il est pilo­té par le Conseil Régio­nal Hauts-de-France et ani­mé par l’agence Hauts-de-France Inno­va­tion Déve­lop­pe­ment (HDFID).

Après une pre­mière édi­tion en mars 2018 au Lil­liad (à l’Université de Lille), la deuxième réunion de l’année s’est tenue au Centre d’Innovation et a réuni une 60-aine de membres, experts en région dans le domaine des pro­jets euro­péens issus des uni­ver­si­tés, des centres tech­no­lo­giques, des pôles de com­pé­ti­ti­vi­té et d’excellence, entre autres.

La jour­née a été riche en par­tage d’informations ciblées avec un point sur le futur pro­gramme euro­péen Hori­zon Europe, qui entre­ra en vigueur à par­tir de 2021, après une pré­sen­ta­tion de la direc­tion de l’innovation et du déve­lop­pe­ment ter­ri­to­rial (par P. Alber­ti) et de la recherche et l’Europe / inter­na­tio­nal à l’UTC (par S. Ros­sard) ; une pré­sen­ta­tion des oppor­tu­ni­tés de finan­ce­ments dans le cadre des appels INTERREG en cours et des témoi­gnages de pro­jets euro­péens por­tés en région, notam­ment le pro­jet VILB réunis­sant la socié­té Auxel et le labo­ra­toire LSEE et le pro­jet LIPES por­té par la socié­té Oleon (groupe Avril).

L’après-midi a été consa­cré à la pro­prié­té intel­lec­tuelle avec la venue de Léa Mon­tesse, experte du Euro­pean IPR Help­desk, qui a par­ta­gé les clés d’une stra­té­gie PI réus­sie dans le cadre des pro­jets euro­péens col­la­bo­ra­tifs. Cette for­ma­tion a été sui­vie par des ate­liers de mise en situa­tion de la négo­cia­tion d’un accord de par­te­na­riat basés sur un jeu de rôle et ani­més par 4 per­sonnes (dont R. Kiau­tua et S. Rossard).

Pour en savoir plus : http://www.hautsdefrance-id.fr/lagenda/

Ali Cha­ra­ra, pro­fes­seur de classe excep­tion­nelle à l'UTC et direc­teur du “Labo­ra­toire d'Excellence” Labex MS2T, vient d'être nom­mé direc­teur de l'Institut des sciences de l'information et de leurs inter­ac­tions (INS2I), à comp­ter du 1er jan­vier 2019.

Pro­fes­seur de classe excep­tion­nelle à l’université de tech­no­lo­gie de Com­piègne, Ali Cha­ra­ra mène des acti­vi­tés de recherche en auto­ma­tique et robo­tique, notam­ment sur l’observation et la com­mande de véhi­cules intelligents/autonomes.

Au sein de l'UTC, il a notam­ment contri­bué à la créa­tion, en 2009, de la fédé­ra­tion de recherche inter­dis­ci­pli­naire « Sys­tèmes hété­ro­gènes en inter­ac­tion » (FR CNRS SHIC), puis en 2011, du labo­ra­toire d’excellence « Maî­trise des sys­tèmes de sys­tèmes tech­no­lo­giques » (Labex MS2T), deux struc­tures qu'il diri­ge­ra jusqu'en décembre 2018.

Il a éga­le­ment contri­bué, en 2017, à la créa­tion du labo­ra­toire com­mun Siva­lab entre le Groupe Renault et Heu­dia­syc et il siège à son comi­té de pilotage.

Des étu­diants en ingé­nie­rie méca­nique tra­vaillent actuel­le­ment avec l’équipe Sode­bo, dans le cadre de leur ate­lier projet.

Les étu­diants de la filière concep­tion méca­nique inté­grée étaient d’ailleurs sur le vil­lage de la Route du Rhum la semaine der­nière pour une réunion avec l’équipe, et ont ren­con­tré Tho­mas Coville, le skip­per de Sode­bo Ultim’.

Tra­vailler en par­te­na­riat avec la Team Sode­bo et InSi­tu est un excellent moyen pour eux de mettre en pra­tique leurs connais­sances et leurs com­pé­tences sur un pro­jet concret.
L’objectif de l’atelier pro­jet AP51 est en effet de mener une étude de concep­tion de sys­tème méca­nique, basée sur une pro­blé­ma­tique indus­trielle en équipe-projet.

Aven­ture voile

https://experts-insitu.com/

Mas­ter euro­péen EMECIS : un bilan posi­tif pour les trois pre­mières années

Le Mas­ter EMECIS " Euro­pean Mas­ter in Engi­nee­ring for Com­plex and Inter­ac­ting Sys­tems " vise à for­mer des étu­diants dans le domaine de l'ingénierie des sys­tèmes com­plexes, en par­ti­cu­lier dans les sys­tèmes de trans­port, les pro­ces­sus liés à la sécu­ri­té indus­trielle, et dans la conduite auto­nome de véhicules.

Créé en jan­vier 2016 par l'université de tech­no­lo­gie de Com­piègne (UTC) et l'université de Gênes (UNIGE) en Ita­lie, il ras­semble le mas­ter Ingé­nie­rie des Sys­tèmes Com­plexes (ISC) de l'UTC, et le Diplôme Magis­trale en Ingé­nie­rie de l'UNIGE. La créa­tion d'EMECIS a été ini­tiée dans le cadre du Labex MS2T " Labo­ra­toire d'Excellence "Maî­trise des Sys­tèmes de Sys­tèmes Tech­no­lo­giques" ", por­té par le labo­ra­toire Heu­dia­syc (UMR UTC CNRS), en asso­cia­tion avec trois autres uni­tés de recherche de l'UTC.

Trois ans après la créa­tion de ce double diplôme, le bilan est posi­tif : neuf étu­diants diplô­més et sept étu­diants ins­crits cette année. " Il y a trois ans, nous visions entre trois à cinq étu­diants par année, et nous avons consta­té au fur et à mesure une aug­men­ta­tion du nombre d'étudiants ", explique Dri­tan Nace, res­pon­sable du mas­ter ISC à l'UTC. Par­mi les neuf étu­diants EMECIS diplô­més, trois pour­suivent en thèse au labo­ra­toire Heudiaysc. 

Pour en savoir plus, cli­quer ici

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