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aux concepts, méthodes, outils et expériences sur les
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Autoréférentiel
de l'UTC relatif à la formation et à la recherche |
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Référence
bibliographique
à
rappeler
pour
tout
usage : Autoréférentiel de l'UTC relatif à la formation et à la recherche, Hilda Cecilia CONTRERAS AGUIRRE, Stage professionnel de fin d’études, MASTER Management de la Qualité (MQ), UTC, 2010-2011, URL : https://www.utc.fr/master-qualite, "Travaux, Qualité-Management", réf n°179 |
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Résumé
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Abstract
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Resumen
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Je tiens
à remercier
principalement M. Jean-Pierre CALISTE, co-responsable du Master
Management de la qualité et tuteur de mon stage, pour tous ses
conseils et recommandations pendant la réalisation du projet.
Mercie également à M. Gilbert FARGES, responsable du Master Management de la qualité, pour son soutien et ses précieux conseils. Merci à tous les deux, pour l’accueil qui ils m’ont réservé au sein de l'Université de Technologie de Compiègne. Mme. Claire ETIENNE, responsable des archives de l'UTC et MM. Hugo DUBOIS et Martin TRASCH, étudiants et représentants du Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire (CEVU), m’ont apporté une aide précieuse pour l’élaboration de l’autoréférentiel – Je les en remercie. Enfin, merci à tous ceux qui ont été impliqués directement et indirectement dans ce projet et pendant mes études supérieures : en particulier ma famille, mais également, mes collègues et mes amis. |
Défis
des universités du 21
ième siècle
Ces dernières années, la place des universités est devenue de plus en plus important en raison de la mondialisation, plus précisément grâce à l'échange et l'exploitation de l'information par l'Internet ainsi que la mobilité de personnes. Maintenant, il est plus fréquent que les jeunes gens cherchent la meilleure offre de formation dans n'importe quel pays et cherchent les moyens financiers pour suivre la formation qu'ils ont choisie. 1.1 Historique : évolutions, transformations et bouleversements En France, « l’organisation de l'enseignement public gratuit et laïque à tous les degrés est un devoir de l'État » selon le préambule de la Constitution de 1946 (alinéa 13). Historiquement, les universités ont eu un passé complexe puisqu'elles ont pu connaître de nombreuses transformations et bouleversements. L'organisation actuelle de l'enseignement supérieur est régi, en partie, par la loi du 26 janvier 1984, appelée loi Savary. Cette loi se fixe pour objectifs de regrouper universités et grandes écoles dans un même texte de loi et de favoriser une plus grande ouverture de ces établissements sur le monde extérieur. Plus tard, à la veille des années 2000, la construction de l'espace européen de l'enseignement supérieur et de la recherche par initiative intergouvernementale (initiée à la Soborne en 1998, ensuite à Bologne en 1999, à Prague en 2001, à Berlin en 2003 et à Bergen en 2005) vise deux objectifs principaux : - faciliter la mobilité des étudiants, des enseignants et des chercheurs en faisant du continent européen une vaste espace ; - rendre cet espace visible et attractif dans le monde entier. Concernant l'organisation des études dans l'enseignement supérieur, depuis 2002, une réforme qui préconise l'harmonisation européenne des diplômés s'est mise en place. La figure 1 montre une comparaison entre l'ancien modèle et le système LMD (Licence, Master et Doctorat), actuellement en vigueur. Figure 1: Evolution du
schéma des
études supérieurs [17] En 2006, la loi de programme
pour la recherche est publiée par le journal officiel ; elle
comporte 5 principes :
- renforcer les capacités d’orientation stratégique et définir des priorités de la recherche française, - bâtir un système d’évaluation de la recherche unifié, cohérent et transparent, - rassembler les énergies et faciliter les coopérations entre les acteurs de la recherche, - offrir des carrières scientifiques attractives et évolutives, - intensifier la dynamique d’innovation et tisser des liens plus étroits entre la recherche publique et la recherche privée. [17] 1.2 Contexte : compétitivité et performance Au niveau Européen L'union européenne joue un rôle fondamental dans le domaine de l'enseignement supérieur puisqu'elle fixe des objectifs ambitieux tels que : former des professionnels de haut niveau, créer des nouvelles connaissances ainsi qu'encourager l'innovation. Dans son effort de modernisation, l'Europe dispose actuellement d'environ 4 000 établissements d'enseignement supérieur, avec plus de 19 millions d'étudiants et 1,5 million d'employés. Cependant, malgré cette unification de l'Europe, les gouvernements nationaux sont toujours responsables de leurs systèmes d'éducation et de formation et chaque université organise son propre programme. Cela cause, certaines fois, des problèmes de financement et d'outils de gestion. C’est pour cette raison que l'union européenne souhaite continuer la réforme universitaire, avec des stratégies telles que celles de Lisbonne et de Bologne dont l'objectif principal était d’améliorer leur qualité, leur gouvernance et leur financement. Le défi continue avec la stratégie "Europe 2020" qui vise une modernisation et une restructuration de ce secteur, à cause d'une économie de plus en plus internationale. [6] En France En ce qui concerne la France, le nombre d'établissements et de structures de l'enseignement supérieur en 2009-2010 était de 1428, dont 1084 en province et 344 en 'île de France. [18] Durant cette même période, les étudiants français inscrits en l'enseignement supérieur étaient au nombre de 2 316 000. Etant donné qu'il existe une attractivité plus importante de l'enseignement supérieur auprès des étudiants étrangers, le nombre d’inscrits dans les universités a augmenté de 12 %. La mise en œuvre d'une stratégie nationale de recherche est en train de se construire. Elle constitue une part fondamentale de l'enseignement supérieur. En 2009, près de 66 500 étudiants étaient inscrits en doctorat à l’université et 11 400 doctorats ont été délivrés. La formation la plus récurrente pour les étudiants de doctorat concerne le domaine des sciences. [19] • Autonomie budgétaire des universités En 2009, la collectivité nationale a consacré 26,3 milliards d’euros à l’enseignement supérieur, soit une augmentation de 3,4 % par rapport à 2008. Cette somme correspond à l’ensemble des dépenses pour les établissements publics et privés à savoir l’enseignement et les activités liées : œuvres universitaires, administration, fournitures, bibliothèques universitaires, rémunération des personnels d’éducation en formation. Elle ne comprend pas le fonctionnement et l’investissement de la recherche des universités. La Réforme de l’état, avec le vote de la Loi Organique relative aux Lois de Finance (LOLF) en 2001, impose aux responsables de définir, chacune à leurs niveaux, les stratégies, les objectifs et les indicateurs de performance des politiques publiques dont ils sont chargés. [20] La loi relative aux libertés et responsabilités des universités publiée en 2007, a pour objectif de leur permettre de libérer leurs énergies dans le cadre d’une mission de service public réaffirmée et éclaircie. Les principales dispositions de la loi cherchent à promouvoir une meilleure orientation et insertion professionnelle des étudiants et de rendre plus efficace le fonctionnement de l'université au travers de ses instances, telles que : le conseil d'administration (CA), le conseil des études et de la vie universitaire (CEVU), le conseil scientifique (C.S.) et le renforcement des pouvoirs du président. La loi prévoit que toutes les universités françaises seront autonomes à l’horizon 2012. Au 1er janvier 2011, près de 90 % des universités étaient autonomes. [20] La figure 2 montre le calendrier d’autonomie des universités. Figure 2 : Calendrier d’autonomie
des universités [20] 1.3
Université de
technologie de Compiègne
L'Université de technologie de Compiègne, qui appartient à la catégorie des universités reconnues comme des Universités de Technologie (UT), est immergée dans ce contexte. Elles sont peu nombreuses en France. Il n’y a, en effet, que 3 universités de ce type, celle de Troyes, celle de Sevenans et celle de Compiègne. [19] Le réseau des UT possède également une université à l'étranger, l’UTseuS (Université de Technologie Sino-Européenne de Shanghai) en Chine ; dont la mission essentielle est la formation, la recherche et le transfert de technologies. [22] Le fondateur de l'UTC, Guy Deniélou avait fait le pari de trouver, entre les grandes écoles et l'université "classique", une troisième voie pour l'enseignement supérieur qui pourrait accentuer les liens avec l'industrie et tirer parti des systèmes étrangers. [10] En effet, l'UTC a été créée par décret ministériel le 02 octobre 1972 par Guy Deniélou. Le fondateur de l'université, un ingénieur-chercheur a eu la vision de construire une université originale et innovante dont les caractéristiques principales étaient la liaison permanente entre l'enseignement, la recherche et l'industrie ainsi que l'insertion de l'étudiant dans le monde industriel au travers de stages. Figure 3 : Centre de Recherche de Royallieu 1973 Photographe UTC, Jean Pierre GILSON Avec 100 étudiants et 30 enseignants pour la première année, l'UTC est en train de devenir une icône de l'enseignement supérieur parmi les universités de technologie. [11] En 1977, cinq années après sa création, l'université a continué de croître et d’innover avec 1000 étudiants et 250 chercheurs. Elle poursuit la définition de ses caractéristiques principales en termes d'enseignement, de recherche et de gouvernance. En ce qui concerne l'enseignement : - la formation est séparée en semestres, - les étudiants doivent passer deux semestres en entreprise, - un accent particulier est mis sur les enseignements non techniques (langues, économie, etc.) D'autre part, la recherche est orientée vers la technologie du quotidienne grâce a une politique préconisant la réflexion sur la recherche appliquée. [10] En 1986, M. Guy Deniélou, dans l'attente de son successeur met en évidence le succès de l'université avec des points clés tels que : - l'existence de deux conseils (celui de l'université et celui du directoire), - la répartition du personnel enseignant (deux tiers d'universitaires et un tiers de contractuels), - l'organisation de l’enseignement avec le système de semestres et unités de valeur, - la culture générale, essentielle au succès professionnel, - l'importance de la liaison entre enseignement et recherche ainsi que celle de la documentation. [12] Figure 4 : Centre Benjamin Franklin 1980 Photographe UTC, Jean Pierre GILSON 1.3.1 Gouvernance Depuis 2008, M. Pierre Charreyron est en charge de la présidence. Avec lui la gouvernance de l'université est assurée par différentes instances qui permettent d'associer les différents acteurs de l'UTC et leurs partenaires de l'industrie et des collectivités territoriales, aux décisions stratégiques de l'établissement : conseil d'administration, comité de direction, conseil scientifique, conseil des études et de la vie universitaire, comité d'hygiène et de sécurité, comité technique et paritaire, conseil de l'école doctorale... Selon la dernière évaluation de la Commission de Titres d'Ingénieurs (CTI) en 2009, l’Université de Technologique de Compiègne est un établissement public, à caractère scientifique, culturel et professionnel. A ce titre, elle dispose de l’autonomie administrative, financière et pédagogique. Elle a pour tutelle le Ministère en charge de l’Enseignement Supérieur. [4] Depuis sa création, presque 40 ans, l'UTC continue à être un modèle innovant avec ses propres caractéristiques. L’organigramme ci-dessous montre la composition de l’université et les différentes interfaces entre les services et les départements. Actuellement,
l'UTC
compte
au
total
du
personnel
de
850
personnes.
Desquels
400
appartiennent
au
personnels
administratifs
et
techniques et 450 sont du personnel
enseignant et enseignants-chercheurs. [24]
1.3.2 Formation • Etudes de l’ingénieur L’UTC propose des formations d'ingénieurs dans les domaines suivants : Génie Biologique, Génie Informatique, Genie Mécanique, Genie des Systèmes Mécaniques, Génie des Procédés et Génie des Systèmes Urbains. La figure 6 montre les branches et filières proposées par l’UTC. Figure 6 : Offre de formation
de l’ingénieur à l’UTC [24] La formation à l'UTC commence avec un tronc commun, celui-ci correspond aux deux premières années du cycle d’ingénieur - Bac à Bac+2. Dans cette partie de leurs cursus, les étudiants abordent toutes les disciplines scientifiques et techniques : mathématiques, physique, chimie...méthodes et outils informatiques, conception mécanique, programmation… ainsi que sciences humaines et management.
Les étudiants choisissent ensuite la branche (Admission à Bac+2,3,4) qui correspond au cycle d'ingénieur de la formation. Les deux premiers semestres sont, en général, communs à l'ensemble des étudiants d'une même branche. Finalement l'étudiant choisit la filière qui souhaite poursuivre.
La figure 7 montre le schéma des
études du
niveau ingénieur.
• Master sciences et technologies
La formation de master en sciences et technologies est une des offres de l'université. Ce master, à « dimension internationale », est décliné en 9 spécialités adossées aux pôles de compétitivité.
Le master forme principalement des « experts » compétents dans des situations professionnelles pointues, destinés à travailler dans des environnements pluridisciplinaires.
Le master est composé de 4 mentions
et de 9
spécialités : -
Mécanique et Systèmes :
systèmes mécatroniques, élaboration des structures
innovantes et
durables, - Transformation et
Valorisation
Industrielles des Agro ressources : biotechnologies,
technologies durables, génie des produits formulés, - Sciences,
Technologies,
Qualité, Santé : sciences et technologies
pour la santé, management de la qualité, - Sciences et
Technologies de
l’Information et de la Communication : systèmes
intelligents pour les transports et innovation, connaissance,
interaction [24]
Figure 8 : Schéma des
études du niveau master [13] Outre les formations du
type ingénieur et
master sont proposées : -
la
formation
continue, -
la
Validation
des
Acquis de
l'Expérience (VAE), -
les
licences
professionnelles, - les mastères spécialisés. 1.3.3 Recherche
Au contact des unités de recherche et des réalités industrielles, l’école doctorale forme des docteurs polyvalents, tant par le contenu scientifique que par le devenir professionnel. L’école doctorale accompagne le projet de thèse de chacun de ses doctorants et facilite leur insertion professionnelle.
L'école doctorale de l'UTC propose des doctorats dans 6 champs disciplinaires, dans les domaines des sciences technologiques et des sciences humaines associés à 9 unités de recherche, lesquels sont décrits dans la figure 9. La recherche à l’UTC est constituée de 3 axes de recherche : environnement, transports intelligents et sûrs et homme équipé ainsi que 2 pôles de compétitivité mondiaux : agro-ressources et i-trans. Figure 9 : Formation par la
recherche [25] En 2011, l’UTC compte au
total 4450
étudiants (dont 500 de l’ESCOM) : 3900 ingénieurs, 250
masters, et 300
doctorants. 15 % de la population totale d'étudiants sont étrangers. L’UTC délivre
650 diplômes
par an.[24]
En ce début du 21e
siècle, les enjeux des
universités sont nombreux car elles doivent rester
compétitives à tous les
niveaux et également satisfaire les exigences des parties
prenantes.
• Qualité en recherche Il s’agit de la démarche qualité en recherche visant à contribuer au progrès et à l’amélioration continue des pratiques scientifiques. « L’évolution progressive des concepts dans le domaine de la qualité conduit à ne plus seulement considérer l'activité de recherche en terme simple de projet. Il s’agit en fait d’une activité délicate et complexe, associant homme et technologie, opérationnel et fonctionnel, individu et collectivité, rationnel et irrationnel dans le contexte global de l’entité de recherche ». [14] D’autre part, des recommandations ont été élaborées pour les chercheurs et les équipes de recherche concernant la maîtrise des risques lors de la conduite d’une activité de recherche, dans le cadre d’un réseau. [15] •
Références
et
lignes
directrices
sur
l’enseignement
supérieur Le Comité National d’Evaluation (CNE), par l’intermédiaire de l'Association européenne pour l'assurance qualité dans l'enseignement supérieur (ENQA), met en évidence des références, des procédures et des lignes directrices sur l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur. Leur objectif est de fournir une aide et un conseil aux établissements d'enseignement supérieur pour ses activités tant en interne qu'en externe. [8]
Enjeux sociaux • Attractivité
de
l’enseignement
pour
les
étrangers Entre 1999 et 2009, le
nombre d'étudiants
étrangers dans l’enseignement supérieur français
est passé de 161 000 à 278
000, progressant ainsi de 73 %. Les étudiants originaires
d’Afrique représentaient
44 % des étrangers tandis que les étudiants venant
d’Asie, en progression,
atteignaient 24 %. Les étudiants étrangers sont,
proportionnellement, plus
nombreux dans les cursus master et doctorat qu’en licence. [19] • Valorisation du
diplôme de l'enseignement
supérieur Depuis des décennies, avoir un diplôme de niveau bac + 5 se révèle un meilleur atout, (en termes d’accès à l’emploi, de contrat de travail, de position professionnelle ou salariale) que de détenir un diplôme bac + 2. Toutefois, l'insertion professionnelle n'est pas homogène. Le niveau et la filière de formation détermine donc la réussite. Les diplômés en Droit, Économie, Gestion et en Sciences, Technologies, Santé - notamment Informatique - sont ceux qui s’insèrent le mieux sur le marché du travail. [19] • Responsabilité
sociétale
des
organisations Dans ce cadre s'inscrit la responsabilité sociétale de tout organisme public ou privé. Au travers de la norme ISO 26000, cette responsabilité se concentre sur l'organisation et les relations avec les parties prenantes ; l'objectif majeur sera de contribuer au développement durable, ainsi qu’à la santé et au bien être de la société. A ce titre la responsabilité sociétale des organisations est devenue un concept de plus en plus important, tant dans le monde que dans l'Union Européenne et s'inscrit dans le débat sur la mondialisation, la compétitivité et le développement durable. [16] • Classements
Aujourd'hui, les
classements sont assez
importants pour les universités, car ils fournissent une
référence par rapport
aux autres universités, en fonction de la formation, la
recherche ou encore l'ouverture
internationale. Les classements sont variés, à titre
d’exemple on peut citer : - le Top 10 du
classement
des
100
meilleures
écoles
d'ingénieurs
[L'Usine
Nouvelle], - le classement SMBG, - le palmarès de l'hebdomadaire
l'Express, - le trophée ISO
pour
l'enseignement
supérieur
en
normalisation.
[24] |
Une
planification dynamique stratégique
(PDS) a été élaborée pour connaître
les axes de développement de l'UTC dans une
logique d'amélioration continue et d'innovation constante.
Afin de permettre de
clarifier la
problématique, de connaître les acteurs ainsi que les
enjeux principaux, un
QQOQCP a été élaboré. Cet outil aidera
à mettre en place les dispositifs
nécessaires pour le développement du projet.
2.2 Intérêts
et
enjeux de la mission
Tout d'abord, il est important d'expliquer
la définition d'un
référentiel qualité et
ses différents composants : « C’est
la
définition
explicite de la qualité adoptée par
l’institution, l’ensemble des
valeurs et/ou d’objectifs qu’elle se donne dans le cadre de ses
missions pour
répondre aux attentes légitimes de ses usagers et
partenaires ainsi que de
ses personnels. Le référentiel qualité peut se
décliner en un ensemble de références
et critères accompagné de règles
d’interprétation » Note
: Projet Tempus AQI-UMED Référence
(en
anglais
« Standard ») : « Une
référence
traduit
en
action
une
valeur
que
se
donne
l’institution.
Il
s’agit
donc
d’identifier
les
actions
concrètes qui vont concourir au
meilleur niveau
possible de réalisation de cette valeur ». Critères : « Un
critère
constitue
un
élément
qualitatif
ou
quantitatif
qui
permet
d’apprécier
le
niveau
de
mise
en
œuvre
d’une
référence ». [21] Les principales
raisons qui ont conduit à la
réalisation du référentiel au sein de
l'Université de Technologie de Compiègne
sont :
Figure 12 : Principales raisons de
l’élaboration du référentiel [9]
Les intérêts de
l'élaboration d'un autoréférentiel étant
identifiés, il faut que les exigences
des guides de l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de
l’Enseignement
Supérieur (AERES) [1] et de la Commission de
Titres de
l’Ingénieur
(CTI) [3] soient
respectées
car
ce
sont
ces
instances
qui
habilitent
la
délivrance
des
diplômes. Il est judicieux de mentionner qu'en plus de l'AERES et de la CTI, il y a d'autres guides ou documents qui ont été élaborés par des organismes ou des universités qui pourront apporter des éléments utiles à la création de l’autoréférentiel. Une recherche bibliographique a permis de les identifier :
Figure 13 : Documents et guides
développés par d’autres
organisations [9]
2.2.3 Identification des parties prenantesLe terme « parties prenantes » peut être défini comme suit : « Individu ou groupe pouvant affecter ou être affecté, directement ou indirectement, dans le court terme comme dans le long terme, par les stratégies, les actions, les messages (et leurs conséquences), que l’organisation met en œuvre pour atteindre ses objectifs ». [16] Un individu (ou un groupe d’individus) peut appartenir à plusieurs catégories de parties prenantes simultanément. La
prise en compte des attentes de toutes
les parties prenantes est, dorénavant, un élément
important pour l’élaboration
des politiques et stratégies des organisations.
Figure 14 : Parties prenantes de
l’organisation [16] Pour qu’il y ait amélioration de la performance globale de l’organisation, il faut que l’image rendue par l’organisation soit le plus près possible de l’image attendue par les différentes parties prenantes. [16] Identifier les parties prenantes d'une université telle que celle de Compiègne est une tâche importante puisqu'elles jouent un rôle essentiel dans les changements futurs, les améliorations et l'émergence de nouvelles offres de formation. Au travers du schéma suivant, les parties prenantes de l’UTC sont identifiées :
Figure 15 : Schéma des
parties prenantes de l’UTC [9]
Etant donnée le nombre de réunions avec les différentes parties prenantes, la méthodologie adoptée est expliquée au travers d’un logigramme et d’une cartographie des processus. 2.3.1 Processus d’élaboration de l’autoréférentiel formationIl
est important de mettre en évidence le
fait que le groupe d'amélioration continue est composé
d'étudiants et d’enseignants. Et qu’un benchmarking a
été réalisé, avec 3
universités, à savoir : l'Université
de Lausanne en France, l'Université Libre de Bruxelles en
Belgique et l'Université
Miguel Hernandez de Elche en Espagne.
Figure 16 : Logigramme de l’autoréférentiel formation [9]
2.3.2 Processus d’élaboration de l’autoréférentiel rechercheLe
référentiel du domaine de la recherche a
été construit de manière
différente. En effet, le responsable de
la recherche à l’UTC, M. Bruno Bachimont ayant
élaboré un document intitulé
"la stratégie en matière de recherche" [2] pour
l’évaluation par l'AERES prévue en juin 2011, c'est ce
document
qui a servi de source
principale à l'élaboration de
l’autoréférentiel recherche.
L'autoréférentiel recherche est une EBAUCHE et devra être amélioré ultérieurement. Figure 17 : Cartographie des processus de l’autoréférentiel recherche [9] |
Chapitre
III
Tel que cela a
été précisé précédemment,
l’autoréférentiel permet de connaître les
caractéristiques
de l'UTC. C'est un modèle approprié dont la communication
est efficace auprès
de ses parties prenantes. De plus, il considère
l'étudiant comme acteur de son
projet de formation et en même temps de son projet professionnel.
L'étudiant
est au cœur du référentiel du domaine de la formation car
c'est autour de lui
que le processus de formation est mis en œuvre. Ainsi, en ce qui concerne l'élaboration de cet autoréférentiel, la participation de différentes parties prenantes est un élément clé dans la recherche des spécificités propres à l'UTC. Les étudiants, les responsables de la pédagogie et de la formation ainsi que les enseignants ont été impliqués dans ce projet. De plus, les articles de
M. Guy Deniélou,
premier président de l'UTC, ont été pris en compte
pour trouver les valeurs et
principes de l'UTC depuis sa création, il y a presque 40 ans. Ils mentionnent plusieurs
spécificités,
telles que : - l'offre d’un nouveau
type d'université,
ni grande école, ni université traditionnelle, - la liaison de
l'enseignement, de la
recherche et de la vie en entreprise dans la structure de la formation, - la recherche, et plus
spécifiquement
l'exploitation de la technologie, du bien-être de la
société, - la souplesse dans la
construction du
parcours de l'étudiant ainsi que la variété des enseignements, - la combinaison de la formation dans l'université et de la formation en milieu industriel au travers de stages. [10]
La composition de
l’autoréférentiel
formation suit le processus générique de la
pédagogie dans lequel l'étudiant
est au cœur du processus de formation. La figure 18 montre la structure
de
l’autoréférentiel.
Il est composé de 5 étapes bouclées : -
la conception de l’offre de
formation, -
l’information auprès du public
interne et externe, -
le recrutement des étudiants et
des doctorants, -
la réalisation de la formation
et l’obtention de diplômes, - l’amélioration qui comprend l’évaluation des enseignements et leur progrès (retour intégré dans la conception).
En
effet, ces cinq niveaux sont la base de
l’autoréférentiel, tant dans le domaine de la formation
que celui de la
recherche.
3.2 Autoréférentiel formation Réf A
1.1 - L’UTC
maîtrise son offre de formation
Réf A 1.2 - L’UTC
propose
différents voies d’obtention de ses diplômes
Réf A 1.3 - L’UTC
propose
différentes modalités de suivi de ses formations
A 2 - L'UTC structure la mise en œuvre de l'offre de
formation Réf A 2.1 - Le
cursus est
basé sur une formation approfondie en sciences fondamentales
Réf A 2.2 - Le cursus inclut dans les
formations les sciences économiques, sociales et juridiques
Réf A 2.3 - Le cursus est conçu pour
permettre l'entrée dans les formations à tous les niveaux
Réf A 2.4 - L'UTC maîtrise son
processus de construction de son offre de formation
A 3
- L'UTC se réfère à ses valeurs pour
développer son offre de formation
Réf A 3.1 - L'UTC vise
à responsabiliser les
étudiants
Réf A 3.2 - L'UTC
base ses formations sur la flexibilité
Réf A 3.3 - L’UTC
pense son offre de formation en
synergie avec ses activités de recherche
Réf A 3.4 - L'UTC
est ouverte au monde
Réf A 3.5 - L'UTC
est à l’écoute des acteurs économiques
Réf
A 3.6 - L'UTC intègre les
activités sportives dans les
cursus de formation
Réf A 3.7 - L'UTC
intègre les activités culturelles dans
les cursus de formation
Réf B
1.1 - L’UTC met à
disposition les informations nécessaires
Réf B 1.2 - L’UTC
va au
contact de ses publics
Réf B 1.3 - L’UTC
accueille
ses publics
B 2 - L’UTC
communique auprès de ses publics internes Réf B 2.1 - L’UTC met
à
disposition des étudiants des outils facilitant la
sélection des UV et des UE
Réf B 2.2 - L’UTC
informe
ses étudiants de son offre global
B 3 - L’UTC facilite les
échanges entre les
différents acteurs Réf B 3.1 - L’UTC
encourage la relation entreprises et étudiants
Réf B 3.2 - L’UTC
encourage les échanges entre
Enseignants-Chercheurs et étudiants
Réf C
1.1 - L’UTC met en oeuvre un
processus de sélection des élèves ingénieur
Réf C 1.2 - L’UTC met en
œuvre un processus de sélection des étudiants en licence
Réf C 1.3 - L’UTC
met en
œuvre un processus de sélection des étudiants en master
Réf C 1.4 - L’UTC
met en
œuvre un processus de sélection des doctorants
C 2 - L’UTC sélectionne ses
étudiants en accord
avec ses valeurs Réf C 2.1 - La
sélection
est basée sur la motivation du candidat
Réf C 2.2 - Chaque
étudiant
bénéficie d’un entretien
C 3 - L’UTC intègre ses étudiants Réf C 3.1 - L’UTC
prend en
compte les besoins spécifiques des étudiants
étrangers
Réf C 3.2 - L’UTC a
un
processus d’accueil de ses nouveaux étudiants
D 1 - L'étudiant choisit son
parcours de formation
Réf D
1.1 - L'étudiant
choisit ses enseignements
Réf D 1.2 - L’étudiant choisit son rythme
D 2 - L’étudiant développe ses
capacités Réf D 2.1 - L’étudiant
acquière
les
connaissances
liées
à
ses
choix
Réf D 2.2 - L’étudiant
développe
ses
compétences
Réf D 2.3 - L’étudiant
développe
ses
aptitudes
D 3 - L’étudiant bénéficie
d'un accompagnement pédagogique Réf D 3.1 - L’étudiant
est
accompagné
dans
la
réalisation
de
son
projet
Réf D 3.2 - L’étudiant
bénéficie
de
modalités
pédagogiques
adaptées
D 4 - L’étudiant bénéficie de services Réf D 4.1 - L’étudiant
bénéficie
de
services
facilitant
son
activité
Réf D 4.2 - L’étudiant
bénéficie
de
services
facilitant
ses
relations
avec
le
monde
socio-économique
D 5 - Les compétences de l’étudiant
sont évaluées
Réf D 5.1 - Les
étudiants réorientés sont conseillés
Réf D 5.2 - L'évaluation
des
étudiants
suit
des
critéres
préalablement
définis
Réf D 5.3 - L'étudiant est informé des règles d'obtention du diplôme
Réf E
1.1 - Les étudiants
évaluent des UV et des UE
Réf E 1.2 - Des
structures de pilotage des formations évaluent
périodiquement les formations
Réf E 1.3 - Les
responsables de formation procèdent à des
auto-évaluations
E 2 - Les formations font l'objet
d'évaluations externes Réf E 2.1 - Les
exigences des organismes d'évaluation sont identifiées
Réf E 2.2 - La
cohérence de l'autoréférentiel UTC avec les guides
d'évaluation est assurée
E 3 - Les formations bénéficient
d'actions d'amélioration de la qualité Réf E 3.1 - Des
actions sont menées
Réf E 3.2 - Des
actions d'amélioration sont identifiées et
priorisées
Réf E 3.3 - Les
résultats des évaluations internes et externes sont
analysés
3.3 Autoréférentiel
recherche A.
L'UTC
a
une
politique
et
une stratégie en matière de
recherche
Réf
A
1.2
-
L'UTC
établit
sa politique de recherche au niveau de
chacune des unités de recherche
retour sommaire
Réf
A
1.3
-
L'UTC
encourage
chaque
chercheur
à
définir
sa
politique
de
recherche
A 2 - L'UTC définit la stratégie avec ses partenaires en matière de recherche Réf A 2.1 - L'UTC a une stratégie de partenariats au niveau régional
Réf A 2.3 - L'UTC a une stratégie de partenariats au niveau international
A 3 - L'UTC définit ses priorités pour l'avenir Réf A 3.1 - L'UTC anime des structures de recherche
Réf A 3.3 - L'UTC identifie clairement ses initiatives de recherche
B. L'UTC dispose d'une organisation et de moyens en recherche B 1 - L'UTC définit sa stratégie de pilotage Réf B 1.1 - L'UTC a une stratégie de pilotage avec ses différentes parties prenantes
Réf
B
1.2
-
L'UTC
a
une stratégie avec ses partenaires
Réf
B
1.3
-
L'UTC
définit
ses partenaires de référence
B 2 - L'UTC dispose d'une politique d'allocation de moyens Réf B 2.1 - L'UTC a une stratégie pour ses sources de financement
Réf B 2.2 - L'UTC dispose de structures d'accompagnement
B 3 - L'UTC développe et met en place une organisation pour répondre à ses besoins et ses objectifs Réf B 3.1 - L'UTC veille à la participation aux structures collaboratives
Réf B 3.2 - L'UTC identifie d'autres structures pour organiser sa recherche
Réf B 3.3 - L'UTC définit son organisation au travers de structures partenariales
Réf B 3.4 - L'UTC s'appuie sur des structures fédératives
C. L'UTC définit une stratégie sur la valorisation de la recherche C 1 - L'UTC dispose d'une stratégie en matière de valorisation Réf C 1.1 - L'UTC encourage la communication des résultats de recherche
Réf C 1.2 - L'UTC favorise l'utilisation des TIC pour valoriser les résultats de la recherche
Réf C 1.3 - La stratégie de l'UTC vise la protection de la propriété intellectuelle
Réf C 1.4 - L'UTC maîtrise la valorisation de la recherche
C 2 - L'UTC communique et diffuse ses résultats de recherche Réf C 2.1 - L'UTC a une stratégie de communication et de diffusion de sa production scientifique
3.4 Evaluation
du Master Management de la qualité
Afin de tester
l'autoréférentiel
formation auprès d'un département de l'UTC, une grille
d'auto-évaluation a été
créée. M. Gilbert Farges, responsable du Master
Management de la Qualité, a
bien voulu participer à cette évaluation. Cet outil permet
de connaître le niveau de maturité de chacune des
étapes du processus de
formation à l’aide d’une échelle d’évaluation. La grille est
composée de plusieurs onglets : « Contexte » :
il
présente
l’objectif
et
le
mode
d’emploi
de
l’outil. « Paramétrage
d’outil » :
il
montre
l’échelle
d’évaluation,
avec
les
items
et
les
pourcentages
de
maturité.
Figure 19 : Paramétrage de
grille
d’évaluation (Créée par Gilbert FARGES)
« Grille d’évaluation » : elle décrit le contenu de l’autoréférentiel (Champs -A ; Items - A 1 ; Références - A 1.1 ; Critères et Indicateurs). Figure 20 : Grille
d’évaluation [9] «
Cartographie
globale
»
:
elle
donne
les
résultats
de
l’auto-évaluation
sous
forme
de
graphique.
3.5 Résultats et analyse de l’évaluationLes résultats de
l’évaluation montrent les points forts et les critères
à améliorer de la
formation Master Management de la Qualité. Ainsi, les champs
« Information » et
« Recrutement » ont une meilleure note
que ceux de la « Formation » et de l’ «
Amélioration ». Egalement, la
partie « Conception » avec une note moyenne est
un des critères à
améliorer. La moyenne
globale de l’évaluation est de 62 %. Il faudra donc, mettre en
œuvre des
améliorations afin que la formation soit plus efficace et
efficiente.
PerspectivesL’autoréférentiel UTC a été créé à l’initiative de la Direction. Il servira à réaliser des auto-évaluations et sera utile pour les habilitations de la CTI et de l’AERES. Toutefois cet outil doit être mis à jour annuellement, pour qu’il soit opérationnel. Afin de s'approprier l'outil, une formation de courte durée doit être mise en place pour les responsables des départements et des unités de recherche. Il faudra également élaborer un programme concernant l’auto-évaluation d'un département ou d'une unité différente tous les six mois L'autoréférentiel pourrait être
disponible
sur l'intranet UTC, en créant un onglet "Comité de
Pilotage Qualité"
avec toutes les démarches qualités qui ont
été effectuées ou qui sont en cours
de réalisation, afin que tout un chacun puisse être
sensibilisé et informé.
L’Université de Technologie de Compiègne est une institution ayant 40 ans d’existence. En France, elle est connue pour être une université innovante et de très haut niveau. La réalisation de cet autoréférentiel au sein de l’UTC m’a permis de mieux connaître la structure, les formations et le personnel de l’université. En effet, le travail d'élaboration de cet outil, est une démarche qui n’est pas facile parce qu’il faut que les diverses parties soient d’accord avec son contenu et sa forme. Cette expérience m’a donné l’opportunité de partager mes idées et opinions avec des étudiants et des enseignants et même avec des personnes externes à l’UTC au travers de la réalisation des interviews et des réunions. Au cours de ce stage je me suis rendue compte de l'excellent prestige que l’université a auprès de la communauté. Une telle démarche est le résultat d’un travail collectif où chacun a été en mesure de mettre un petit grain de sel pour l’élaboration de l’autoréférentiel. De plus, l’expérience et les connaissances de M. Jean-Pierre Caliste ont été déterminantes pour la création de cet outil original avec des caractéristiques propres de l’UTC. L’utilisation pertinente de cet outil est
un facteur clé pour le succès et le progrès de la
formation et de la recherche
à l’UTC. Il faut cependant l’utiliser
régulièrement et exploiter les résultats
obtenus. Il faut également être vigilant pour y
intégrer des évolutions potentielles
(veille) et faire en sorte que les personnes concernées soient
impliquées dans
l’approche de l’amélioration continue. Glossaire
- AERES : Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur - AUTOREFERENTIEL : Référentiel d’auto-évaluation de l’Université de Technologie de Compiègne - CA : Conseil d’Administration - CEVU : Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire - CNE : Comité National d’Evaluation - CTI : Commission de Titres de l’Ingénieur - ESCOM : Ecole Supérieur de Chimie Organique et Minérale - ENQA : European Association for
Quality Assurance in Higher Education - HEUDIASYC : Heuristique et Diagnostic des Systèmes Complexes - LEC : Laboratoire d’Electromécanique de Compiègne - LMAC : Mathématiques Appliquées - LMD : Licence, Master et Doctorat - LOLF : Loi Organique relative aux Lois de Finance - PDS : Planification Dynamique Stratégique - QQOQCP : Qui ? Quoi ? Où ? Quand ? Comment ? Pourquoi ? - UNIL : Université de Lausanne - UTC : Université de Technologie de Compiègne Bibliographie[1] AERES-PAO.
Agence
d’évaluation
de
la
recherche
et
de
l’enseignement
supérieur.
Guide
de
l'évaluation-Section
1 Vague A, 2009, 42 pages. [En ligne]
[2] BACHIMONT Bruno. La stratégie en matière de recherche de l’université de technologie de Compiègne (Quadriennal recherche), 2011, 57 pages.
[3] COMMISSION DES TITRES DE L’INGENIEUR (CTI). Références et orientations, 6ème édition, 2009, 46 pages. [En ligne] Disponible sur : < http://www.cti-commission.fr/>
[4] COMMISSION
DES TITRES DE L’INGENIEUR (CTI). Avis n°2009 / 10-01 relatif
à l’habilitation
de l’Université de technologie de Compiègne (UTC)
à délivrer des titres d’ingénieur diplômé. Neuilly-sur-Seine, 2009, 5 pages.
[5] COMMISSION DE
VALORISATION DE L’ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE (COVER).
Evaluation
et
développement de la qualité de l’enseignement et de la
recherche,
Guide
d’auto-évaluation
à
l’intention
des
facultés
Université
de
Lausanne
(UNIL),
2007,
55 pages. [En
ligne]
[6] COMMISSION
EUROPENNE. Education et formation. L’enseignement
supérieur en
Europe. [En ligne]
(Consulté le 16 mars 11)
[7] COMITE NATIONAL
D’EVALUATION (CNE). Livre de références. Les
références de l’assurance de la
qualité dans les établissements d’enseignement
supérieur. France [En ligne] 2003, 28 pages. (Consulté le 05 mars 2011) Disponible sur : <https://www.cne-evaluation.fr/WCNE_pdf/LivrereferencesCNE.pdf>2 [8] COMITE NATIONAL
D’EVALUATION (CNE). Références et lignes
directrices pour
le management de la
qualité dans l’espace européen de l'enseignement
supérieur (ENQA). [En ligne] France, 2006, 51 pages. (Consulté le 08 mars 2011) Disponible sur : <http://www.enqa.eu/files/ESG%20version%20FRA.pdf>
[9] CONTRERAS AGUIRRE Hilda Cecilia. Autoréférentiel de l’UTC relatif à la formation et à la recherche. [En ligne] « Travaux » réf n° 179 Disponible
sur :
<https://www.utc.fr/mastermq>
[10] DENIELOU
Guy.
Compiègne 5 ans après, 1977, 2 pages. (Archives de l'UTC)
[11] DENIELOU Guy. Courrier du CNRS – N° 12 - avril 1974, 5 pages. (Archives de l'UTC)
[12] DENIELOU Guy. Discours colloque : Technologie et enseignement supérieur, 1986, 5 pages. (Archives de l'UTC)
[13] DIRECTION DE LA
COMMUNICATION ET LA CELLULE MASTER
DE
L'UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE COMPIEGNE. Guide de
l’étudiant
Master 2010. [En
ligne] 2010 (consulté le 08 avril 2011)
[14] FD X 50-550. "Démarches Qualité en Recherche, Principes généraux et recommandations". Ed Afnor, Octobre 2001.
[15] FD X 50-551.
Qualité
en
recherche
-
Recommandations
pour
l'organisation
et
la
réalisation
d'une
activité de
recherche en mode projet
notamment dans le cadre d'un réseau. Ed Afnor, Novembre 2003.
[16] JOUNOT Alain. 100 questions pour comprendre et agir, RSE et développement durable. Editeur Afnor, 2010, 171 pages. ISBN 978-2-12-465240-2.
[17] MINISTERE
D’EDUCATION NATIONALE, ENSEIGNEMENT
SUPERIEUR ET RECHERCHE. Les
établissements d’enseignement supérieur. Structure et
fonctionnement
–
Guide
pratique,
2006,
77
pages.
[en ligne] (Consulté le 25
février 2011)
[18] MINISTERE
DE L’EDUCATION NATIONALE. Outils
de
documentation, d’information. Etablissements et structures de
l’enseignement
supérieur. [en ligne] 2010
(Consulté
le
21
février
2011)
2
pages.
[19] MINISTERE DE
L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR.
L’état de
l’enseignement supérieur et de la recherche en France. 35
indicateurs. [en
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Disponible
sur :
<http://media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/Publications/07/2/EESR10_WEB_167072.pdf>
[20] MINISTERE DE
L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA
RECHERCHE.
La loi relative aux libertés et responsabilités des
universités. Nouvelle
université – Au service de l’égalité des chances. [En ligne] 2007, (Consulté le 22 février 2011)
Disponible
sur :
<http://www.nouvelleuniversite.gouv.fr/-le-projet-de-loi-relatif-aux-libertes-des-universites-.html#outil_sommaire_1>
[21] PROJET TEMPUS AQI-UMED. Proposition d’une méthodologie de construction d’un référentiel, 2011, 5 pages (Consulté le 15 février 2011) [22] SERVICE DES ADMISSIONS ET DIRECTION DE LA COMMUNICATION - UTC. Guide de l’ingénieur 2010. [En ligne] 2010 (consulté le 08 avril 2011)
Disponible
sur :
<https://www.utc.fr/utc_espacepresse/iso_album/guide_etudiant_ingenieur_20102011.pdf>
[23] UNIVERSIDAD MIGUEL HERNANDEZ DE ELCHE – Espagne. [En ligne] (Consulté le 15 mars 2011)
Disponible
sur :
<http://www.umh.es/>
[24] UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE COMPIEGNE. Innovation, formation, recherche, valorisation. [En ligne] (Consulté le 25 février 2011)
Disponible
sur :
<https://www.utc.fr>
[25] UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE COMPIEGNE. Guide de l’étudiant chercheur 2010 / 2011. [En ligne] (Consulté le 08 avril 2011)
Disponible
sur :
<https://www.utc.fr/Ecole_Doctorale/iso_album/guide_web_2010-2011.pdf
>
[26] UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES - Cellule d'appui à l'Evaluation de la Qualité. Critères d'autoévaluation d'une faculté. [En ligne] 2008 (consulté le 07 mars 2011) AnnexesAnnexe 1.
Exemple de fiche de lecture
Annexe 2. Planning du projet
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