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Autodiagnostic "full web" pour le Guide des Bonnes Pratiques de d'Ingénierie Biomédicale, version 2011.



Khawla ZARRAD

Gloria FLORES

François Solmon

Référence bibliographique à rappeler pour tout usage :
 
Auto-diagnostic "full web" pour le Guide des Bonnes Pratiques de l'Ingénierie Biomédicale, version 2011.
ZARRAD Khawla, FLORES Gloria, SOLMON François, Projet d'Intégration, MASTER Management de la Qualité (MQ) et Mastère Spécialisé Normalisation, Qualité, Certification, Essai (NQCE),
UTC, 2011-2012, URL : https://www.utc.fr/master-qualite, puis "Travaux", "Qualité-Management", réf n° 205
RESUME

Conscients de l’importance de procurer une qualité de soins en toute sécurité aux patients, les établissements de santé veulent suivre le processus de l’amélioration continue et s’assurer de la qualité du service à rendre. C’est dans ce but que a été au début proposer la première version du guide des bonnes pratiques en menant par la suite à la nouvelle version. Sans oublier bien sur l’outil full web. Or le but de cet outil est d’aider ces services à savoir bien se positionner dans leurs pratiques et à bien choisir les améliorations à envisager en cas de défaillance technique ou pratique tout en étant  mis à jour avec la dernière version du guide, multilingue et modéré.

Mots clés : guide des bonnes pratiques biomédicales, dispositifs biomédicals, autoévaluation

ABSTRACT

Health facilities, which are nowadays more and more aware of the importance of presenting a secure quality of service for patients, want to be sure of the quality they produce and want to follow the process of continuous improvement. That’s why was proposed the first edition of good practice guide which induct the last edition. We shouldn’t forget about the full web tool. In fact the aim of this tool, which have to be multilingual and actualized with the last edition of the guide, is to help different biomedical services to classify their practices and ameliorate for the benefits of all parts.

Key words : good clinical ingineering practices guidelines, medical devices, self-assessment

ملخص
إدراكا لأهمية توفيررعاية آمنة و جيدة للمرضى،تريد مرافق الرعاية الصحية  تتبع عملية التحسين المستمر وضمان جودة الخدمات المقدمة. تحقيقا لهذه الغاية، أقترحت النسخة الأولى من دليل الممارسات الجيدة في الهندسة الطبية الحيوية مما أدى بعد ذلك إلى إصدار نسخة جديدة مع النظر في تصميم أداة ويب كاملة. الغرض من هذه الأداة هو مساعدة هذه الخدمات لإيجاد موقف جيد في ممارساتها واختيار النظر في إدخال تحسينات في حال عطل فني مع إستعمال أحدث نسخة من الدليل ذو لغات متعددة

المفاتيح : دليل الممارسات الطبية الحيوية ، الأجهزة الطبية الحيوية، التقييم الذاتي
RESUMEN

Conscientes de la importancia de procurar una atención de calidad a los pacientes, los establecimientos de salud desean seguir el proceso de mejora continua y asegurar la calidad en el servicio que ofrecen. Este fin ha sido propuesto, en un inicio, con la primera versión de la Guía de Buenas Prácticas que conduce a una nueva versión de la misma. Sin olvidar la herramienta que funciona sobre internet. El propósito de ésta herramienta es el de ayudar a los establecimientos de salud a conocer su posición en cuanto a sus prácticas y a decidir de manera correcta las mejoras con respecto a las fallas o deficiencias tanto técnicas como prácticas, tomando siempre en consideración la última versión de la guía, multilinguista y moderada.
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Sommaire


Chapitre I.  Introduction
1.1.    Contexte
1.2.    Historique guide 2002 et du site web [1]
1.3.    Présentation du guide 2011[2]
1.3.1.    Sens
1.3.2.    Soutien
1.3.3.    Suivi
1.3.4.    Bonnes pratiques et 3S
1.4.    Enjeux

Chapitre II. Définition du projet
2.1.    Définition de la problématique et des objectifs
2.2.    Conception du nouveau site
2.2.1.    Interface utilisateur
2.2.1.1.    La base de données
2.2.1.2.    L’interface HTML et PHP
2.2.2.    Autodiagnostic : grille du Guide des Bonnes Pratiques 2011
2.2.2.1.    Bases de données
2.2.2.2.    L’interface HTML et PHP
2.2.3.    Aspect multilingue : Traduction&Approbation
2.2.3.1.    La base de données
2.2.3.2.    L’interface HTML et PHP
Conclusion et perspectives
Références bibliographiques
Annexes
1.    Risques associés au projet
2.    Planning
3.    Tables : interface utilisateur
4.    Tables : grille d’autodiagnostic


Table de figures

Figure 1 - Correspondance dans l'organisation des bonnes pratiques entre les versions 2002 et 2011 [2]
Figure 2 - Cartographie des reconnaissances [1]
Figure 3 - Structure du guide [1]
Figure 4 - Extrait de la grille 2002 [2]
Figure 5 - Graphe radar
Figure 6 - Démonstration du 1er full-web [5]
Figure 7 - Cycle de vie du guide
Figure 8 - Les 3 principes des bonnes pratiques
Figure 9 - Les 3 S
Figure 10 - Les bonnes pratiques biomédicales [3]
Figure 11 - QQOQCP
Figure 12 – Planification Dynamique Stratégique
Figure 13 – Modèle en V
Figure 14 - La base de données
Figure 15 - Page d'accueil [4]   
Figure 16 – Message d’erreur dans le login ou le mot de passe   
Figure 17 – Message d’erreur si les champs sont vides   
Figure 18 - Formulaire [4]   
Figure 19 – Validation du mail   
Figure 20 – Message d’erreur si les champs dans le formulaire sont vides
Figure 21 – Message indiquant d’une insertion réussi
Figure 22 – Formulaire bloque
Figure 23 – Interface permettant l'accès aux différentes fonctions sur le Guide 2011 et ses autodiagnostics [4]
Figure 24 – Diagramme UML de la base de données de la grille
Figure 25 – Exemple des Bonnes Pratiques à évaluer selon une echelle de maturité des processus [4]
Figure 26 – Exemple de graphique des moyennes et écart-types
Figure 27 – Page des résultats des évaluations et du benchmarking par rapport aux autres évaluateurs  [4]
Figure 28 – Diagramme de base de données de traduction&approbation
Figure 30 – Interface multilingue
Figure 31 - Catégories
Chapitre I. Introduction


Dans le cadre du Master management de la qualité, chaque groupe d’étudiants doit réaliser un projet d’intégration qui a pour objectif l’application des outils de qualité et des connaissances acquises tout au long du semestre afin d’analyser un problème et de trouver les solutions possibles et les plus optimales.

Par le biais de ce projet, nous avons choisi de présenter le guide qui a pour titre « Outil Full Web, multilingue et modéré d’autodiagnostic sur le guide des bonnes pratiques de l’ingénierie biomédicale en établissement de santé édition 2011 » et qui  propose un outil de positionnement et d’analyse des progrès en utilisant une grille d’autodiagnostic.

 1.1 Contexte

L’ingénierie biomédicale en établissement de santé est une profession créée vers 1975 via des services biomédicaux hospitaliers. Malgré cela le nombre de services biomédicaux est beaucoup inférieur (450) au nombre des hôpitaux (3000). De même pour les ingénieurs biomédicaux qui sont un peu près 400 avec 800 techniciens supérieurs hospitaliers.

Le service biomédical en établissement de santé contribue à la maîtrise des outils technologiques mis à la disposition du personnel médical, soignant et médico-technique. Ainsi délivrer des soins de qualité en toute sécurité au sein de ces services est un point primordial à mettre en évidence. Pour ce faire un premier guide de bonnes pratiques a été élaboré pour répondre à ces exigences. Mais depuis l’édition de la version 2002, de nombreuses publications et communications professionnelles ont permis l’émergence de nouvelles bonnes pratiques.
C’est pourquoi un projet de rénovation du guide avec l’ambition de garder les apports et d’en faire un outil exploitable par les différents services biomédicaux a été élaboré.

Une grande démarche a aussi été prise avec le guide de la version 2002 : l’utiliser dans un outil full-web. Cet outil est défini comme une interface graphique qui se développe et s’exécute sur internet. Ce type d’application présente l’immense avantage d’être équivalent à un logiciel multiposte sans limitation et autorise le travail à distance des utilisateurs : PHP, MySQL.
 
Une maquette de cet outil se trouve sur le serveur de l’UTC où est intégrer une version 2002 du guide avec une grille d’auto-évaluation téléchargeable librement comportant 28 bonnes pratiques pour 118 processus ainsi que les moyennes des différents résultats obtenus. Cet outil se présente comme suit [6] :
    1. Gestion d’utilisateurs avec niveaux d’accès.
    2. Sécurité avec un login et mot de passe cryptés.
    3. Gestion sécurisée de la base de données.
    4. Sauvegarde et restauration des données.

L’édition 2011 intègre les critères de réalisation dans son contenu même, ce qui la rend plus explicite et plus précise. La structure de l’édition 2011 du guide est construite à partir d’une  « Bonne Pratique Générique (BPG) ».

La figure suivante met en évidence la différence entre les versions 2002 et 2011 [Figure 1]: 





Figure 1- Correspondance dans l'organisation des bonnes pratiques entre les versions 2002 et 2011 [2]

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 1.2 Historique guide 2002 et du site web [1]

Comme déjà énoncé, le premier guide des bonnes pratiques en 2002 a émergé pour répondre aux attentes des ingénieurs biomédicaux et ainsi mieux reconnaître cette profession nouvelle.
D’autre part la nécessité de ce guide vient pour que cette profession soit reconnue par la norme ISO comme le décrit ce schéma [Figure 2]:




Figure 2- Cartographie des reconnaissances [1]

                                                                                                                                                                                                                                                                                             retour sommaire

Ainsi ce guide présente un instrument précieux de réflexion, de conseils et d'éclairages sur les actes et missions de la communauté biomédicale hospitalière française. De plus il sera un outil interactif (fiche de retour d'expérience), flexible (propositions adaptables aux contextes) et évolutif (nouvelles versions périodiques).

Ainsi par analogie, ce guide n'est pas un sommet à gravir mais simplement un horizon à atteindre. Le Guide veut donc inspirer la confiance, susciter la curiosité, accompagner la motivation, en un mot, générer une dynamique de progrès.

Pour élaborer ce guide 2 vagues ont été identifiées :
  • 1ère vague : Identifier les différentes missions des services biomédicaux
  • 2ème vague : Evaluer l'importance des missions et leur niveau de maîtrise
Après l’étude profondément faite la structure du guide [Figure 3] était basée sur deux bonnes pratiques: fonctionnelles et opérationnelles.



Figure 3- Structure du guide [1]

                                                                                                                                     retour sommaire

Ce guide a été utilisé pour créer le premier outil d’autodiagnostic permettant de s’auto-diagnostiquer et évaluer ses pratiques.
Cet outil a été capitalisé sur Excel dont un extrait est présenté [Figure 4]:




Figure 4 - Extrait de la grille 2002 [2]

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Après avoir  terminé  tous les tests, les résultats peuvent être représentés sur un graphe radar [Figure 5] qui permet aussi de se positionner par rapport à ses pairs.

 


Figure 5- Graphe radar [6]

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A partir de ces données, l’idée est de capitaliser ce guide ainsi que la grille d’un site web    [Figure 6] permettant ainsi la bonne promotion de ce guide.



Figure 6- Démonstration du 1er full-web [5]

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Ainsi le cycle de vie du guide se capitalise dans cette Figure 7:



Figure 7- Cycle de vie du guide [6]
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   1.3 Présentation du guide 2011[2]

Comme précisé dans la partie précédente, le nouveau guide actualisé se structure suivant le GBP. En effet chaque bonne pratique est décrite selon une approche générique et elle intègre 3 principes décrits comme suit [Figure 8] :

 

Figure 8- Les 3 principes des bonnes pratiques [6]

 

De plus chaque bonne pratique suit les processus des métiers habituels de l’ingénierie biomédicale « 3S » : Sens, Soutien et Suivi comme montré dans la Figure 9


Figure 9- Les 3 S [6]

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1.3.1 Sens

Pour chaque bonne pratique il est nécessaire d’expliciter le sens en utilisant les quatre phases suivantes :

1.3.2 Soutien

Pour organiser le soutien il est nécessaire d’identifier deux parties:

1.3.3 Suivi

Pour maîtriser le suivi de chaque bonne pratique il y a trois phases générales :

1.3.4 Bonnes pratiques et 3S

Les bonnes pratiques génériques sont associées au modèle 3S en trois modules de bonnes pratiques [Figure 10] : 



Figure 10- Les bonnes pratiques biomédicales [3]
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Chaque module peut être représenté dans la boucle des « 3S » formalisant le fil directeur entre le management (BPM), l’organisation (BPO) et la réalisation (BPR) des services.  Chaque module est décliné en trois bonnes pratiques majeures représentatives du métier ce qui en facilite la mémorisation.

Dans la grille d’auto-évaluation, l’ensemble est décliné selon 3 modules, 9 bonnes pratiques et 48 processus associés chacun à des propositions de tâches à réaliser ce qui rend l’auto-évaluation plus rapide et facile.


  1.4 Enjeux

La qualité et la sécurité des soins présentent des enjeux majeurs dans nos sociétés technologiques où la complexité des systèmes biomédicaux est souvent connexe à leur performance. Ainsi il faut élaborer des plans d’action pour assurer ces enjeux.

De plus la diversité des pratiques dans les établissements de santé ainsi que l’évolution de pratiques et de la réglementation nécessitent d’envisager une amélioration continue.
Les hôpitaux universitaires sont des organisations de très grande taille, de très haute technicité et complexité qui obligent la mise en place d’un système de protection et de prévention des erreurs. En effet il faut envisager l’enjeu financier de cette démarche qui peut éviter des dysfonctionnements coûteux, ainsi que des dysfonctionnements de gestion. Les démarches « Qualité », qui concernent l’ensemble des professionnels d’une structure de soins, constituent un enjeu de santé publique dans la mesure où l’amélioration de la qualité des soins se fait au bénéfice du patient.

Cet outil pourra éventuellement aider les ingénieurs biomédicaux à préciser les exigences à observer pour garantir la sécurité dans leur métier car ils  sont souvent confrontés à une insuffisance de cadre réglementaire et/ou professionnel qui précise les exigences à observer pour garantir la sécurité dans leur métier.
Ainsi avec cet outil full-web et le guide des bonnes pratiques en version 2011,  les différents acteurs espèrent avoir des plus values par rapport à la dernière version.


Chapitre 2. Définition du projet

   2.1 Définition de la problématique et des objectifs

Pour  mieux clarifier et cerner la problématique du projet, la réalisation d’un QQOQCP [Figure 11] a été nécessaire et essentielle.



Figure 11-QQOQCP [6]

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Afin d’obtenir une vision globale par rapport aux objectifs et livrables du projet, on a établi le PDS [Figure 12] qui permet de consolider les points forts et de cibler les points à améliorer.

 
Figure 12-Planification Dynamique Stratégique [6]
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2.2 Conception du nouveau site

Pour concevoir notre nouveau site, le travail a été partagé en trois parties. Ces trois parties consistent à faire : une interface utilisateur permettant de passer une partie d’évaluation et affichage des résultats et l’autre à traduire les items de la grille et contribuer à traduire tout le site.



Figure 13 - Modèle en V [6]
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2.2.1 Interface utilisateur

Cette partie consiste à créer l’interface utilisateur permettant à ce dernier de s’inscrire ou de se connecter au site soit pour faire l’évaluation soit s’inscrire en tant que traducteur ou approbateur des traductions faites. Dans la suite se trouvera l’explication du travail fait ainsi que la base de données établie.

2.2.1.1 La base de données


Pour qu’une personne puisse s’inscrire sur le site elle doit entrer ses données personnelles comme le login et le mot qui lui permettrons de s’identifier par la suite ainsi qu’un correcte email. De plus cette personne devra spécifier les données relatives à l’établissement d’origine ainsi qu’au service dans lequel elle travaille.
Pour cela on a crée 3 tables liés par des clés étrangères qui sont la table « individu », « activite » et « etablissement ».

      1. Clés primaires : Lors de la création d’une table, on a besoin de déclarer une clé primaire. Pour notre première table « individu » la clé primaire est « login », tandis que pour « activite » ça sera « id_service » qui sera l’identifiant du service étant donné un entier. Pour la dernière table « etablissement » la clé primaire est « id_etab ».
      2. Clés étrangères : Pour faire la liaison entre les trois tables, on a besoin de déclarer des clés étrangères qui permettent d’extraire les données d’une table pour les envoyer vers une autre table. Pour ce faire on a deux clés étrangères de la table « activite » qui sont « login » et « id_etab » qui pointent respectivement vers les clés primaires des tables « individu » et « etablissement ». Par le biais de ces clés, on peut faire la liaison entre ces deux dernières tables.

La figure suivante [Figure 14] présente le schéma général de la base en présentant la cardinalité entre les clés. En effet, plusieurs personnes peuvent travailler dans un même service, un service peut appartenir à plusieurs établissements et inversement un établissement peut contenir plusieurs services.



  Figure 14 - La base de données [6]

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Pour modéliser ces tables dans le concret, on a utilisé « phpMyAdmin » où on a les spécifications de chaque champ des tables. Les structures de chaque table (table individu, table etablissement, table activite) peuvent être consultes dans les annexes [Annexe 3].

En plus de ces tables on a crée des tables de références pour la langue d’affichage [Annexe 3] et le pays de la personne [Annexe 3]. Pour pouvoir utiliser cette table il faut prédéfinir ses champs, or pour la table « langue-affichage » on va introduire une seule langue pour le moment car ça sera la seule langue d’affichage [Annexe 3].
De même pour cette table on doit introduire une liste de pays pour que la personne qui va s’inscrire puisse choisir suivant la liste déroulante [Annexe 3] qui s’affichera dans le formulaire d’inscription.

2.2.1.2 L'interface HTML et PHP

Lors de l’insertion de l’URL du site web, la première page qui va s’afficher sera la page d’accueil [Figure 15] sur laquelle le visiteur du site pourra soit s’identifier soit s’inscrire pour la première fois. Cette figure présente la page accueil en html.



Figure 15 - Page d'accueil [4]


Pour rendre cette page dynamique et en liaison avec la base de données il faut insérer un code PHP qui permet de faire la relation. Comme noté sur cette page d’accueil, on peut trouver deux champs permettant l’identification si l’inscription est déjà faite.
La personne n’a qu’à insérer son « login » et son « mot de passe », un code php fera la liaison avec la base pour chercher ses deux paramètres dans la table « individu ».
Mais si ces deux paramètres n’existent pas ou sont incorrects alors un message d’erreur [Figure 16] sera affiché comme suit :


Figure 16 - Message d'erreur
Un autre message d’erreur peut aussi s’afficher si un des deux champs est vide [Figure 17] et il le sera comme suit : 


Figure 17- Message d'erreur

Si la personne visite le site pour la première fois en désirant faire l’auto-évaluation, elle devra cliquer sur le bouton « inscription » qui va la rediriger vers le formulaire d’inscription [Figure 18]. Ce formulaire contient les données qui on été définies dans notre base de données. La capture d’écran suivante schématise le formulaire crée en relation avec la base.

Figure 18-Formulaire [4]

Pour que le formulaire soit bien rempli, un ensemble de vérifications à été mis en place avec du JavaScript. Par exemple si la personne n’introduit pas correctement son mail avec la structure habituelle d’un mail un message d’erreur sera affiché comme suit [Figure 19] :


Figure 19- Vérification [4]

Un autre message d’erreur [Figure 20] peut aussi apparaître si les champs ne sont pas tous remplis en indiquant :


Figure 20 - Message d'erreur [4]

Un autre cas d’erreur peut aussi se manifester si le login entré existe déjà dans la base. Cela se fait par un code de vérification PHP.
Quand tous les champs sont remplis correctement et totalement, toutes les données entrées vont être renvoyées vers les tables de la base de données. Ainsi un message indiquant que l’insertion est faite apparaîtra [Figure 21].



Figure 21 - Message d'insertion réussi [4]

Quand l’insertion est faite nos trois tables seront remplies [Annexe 3].
Ainsi on peut voir la relation qui  a été faite par les clés étrangères entre les trois tables.
Une autre option a été introduite sur le formulaire. En effet lorsque l’utilisateur ne veut pas s’inscrire en tant que traducteur, les données à préciser seront bloquées comme suit [Figure 22] :


Figure 22- Formulaire bloquée [4]

La même chose sera faite s’il ne veut pas s’inscrire en tant qu’approbateur.  

Lorsque l’insertion des données de l’utilisateur sera réussie ou son identification bien acceptée, il sera redirigé vers une page intermédiaire [Figure 23] lui permettant de faire le choix entre faire l’auto-évaluation, voir les résultats ou accéder à la page de traduction/approbation.


Figure 23- Interface permettant l’accès aux différentes fonctions sur le Guide 2011 et ses autodiagnostics [4]

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Mais cette partie reste manquante car elle sera en liaison avec les deux autres parties pour répondre au cahier des charges.


2.2.2 Autodiagnostic: grille du Guide des Bonnes Pratiques 2011

Le travail consiste à transformer réaliser grille d’autodiagnostic existante au format excel en une application web.

2.2.2.1 Base de données

Afin de pouvoir faciliter l’enregistrement et le traitement des données fournis par l’évaluateur dans  un premier temps par créer six tables on été créées [Figure 24]:


Ensuite deux liaisons ont été déclarées :

        1. La première liaison, qui est présentée en bleu sur le diagramme UML [Figure 24] lie les trois tables « Bonne pratique », « processus » et « critère réalisation ». Et cela est dû au fait que chaque bonne pratique comporte des processus, et chacun de ces processus comporte à son tour des critères d’évaluation.
        2. La deuxième liaison a pour objectif de trouver « le résultat » à partir de la  liaison de la table « processus » et « évaluateur»

Figure 24- Diagramme de la base de la grille [4]

Tableau Evaluateur

La table évaluateur nous permet d’avoir des informations sur la personne qui remplit le formulaire :


Tableau Bonne_Pratique

Cette table a pour objectif de préciser la bonne pratique évaluée. Elle comporte deux champs :

Tableau Processus

Cette table a pour but de définir le processus évalué. Elle comporte trois champs :


Tableau Critère Réalisation

Cette table précise le critère évalué, elle comporte trois champs, qui sont :


Tableau Moyenne

La table Moyenne nous permet d’avoir la moyenne des résultats, par année ou par pays.
Elle comporte les champs suivants :

Tableau Résultat

La table résultat a pour but de collecter les données des quatre premiers tables et de les afficher selon sept champs :


    2.2.2.2 L’interface HTML et PHP

Après avoir choisi de faire l’évaluation, l’utilisateur va être redirigé vers la grille d’autodiagnostic suivante [Figure 25] :



Figure 25- Exemple des Bonnes Pratiques à évaluer selon une échelle de maturité des processus [4]

Avec le login les données seront enregistrées dans la table « Résultat »  dans la base de données. Au dessous de cette ligne, la date du jour est affichée, l’utilisateur n’a donc pas besoin de la saisir. Ensuite, il y a la grille d’auto-évaluation des 48 processus. Pour une meilleure lisibilité, nous l’avons présentée sous la forme de 9 tableaux correspondant aux 9 Bonnes Pratiques.
Chaque tableau est constitué de 5 colonnes :

En bas de la page, l’utilisateur peut retourner à la page d’accueil en cliquant sur le bouton :

Ou alors, il peut enregistrer ses résultats dans la base de données et les voir sous la forme d’un graph radar. Pour cela il sera renvoyé sur une nouvelle page en cliquant sur :

Dans le radar, on a réussi à ajouter les métadonnées. Toutes les métadonnées sont mises à jour en fonction de ce que l’évaluateur a saisi sur la page HTML.


Figure 26- Exemple [4]

Si l’utilisateur choisit de voir les résultats, il sera renvoyé sur une autre page qui est la page de résultats. Dans cette page l’évaluateur aura la possibilité de visualiser les résultats de différents évaluateurs [Figure 27].



Figure 27 - Résultats [4]

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2.2.3 Aspect multilingue: Traduction&Approbation

Cette partie n’a pas été faite conformément au cahier de charges de notre projet QP10 donc on devra changer beaucoup de choses.

2.2.3.1 La base de données

Mais d’une façon générale la base de données concernant cette partie doit être sur cette forme :


  Figure 28 - Diagramme de la base traduction&approbation [4]

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2.2.3.2 L'interface HTML et PHP

Quand la personne connectée désire chercher un item traduit, traduire un item ou même voir le statu des items traduits dans une langue précise ; il va tomber sur cette interface [Figure 30].



Figure 30 - Interface multilingue [4]


Dans la même interface on peut trouver aussi tous les items, les sous catégories, les catégories et les langues dans des menus déroulants [Figure 31]:



Figure 31 - Catégories [4]


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Conclusion et perspectives

La réalisation d’un outil full-web, multilingue et modéré d'autodiagnostic s’inscrit dans le processus d’amélioration continue initié en 2002 de l’ingénierie biomédicale dans les établissements de santé.

L’outil full web sur le guide biomédical 2011, en cours de conception, vise à permettre aux professionnels biomédicaux de s’évaluer et de se positionner dans leur pratique professionnelle quotidienne. Il a ainsi pour ambition de mesurer l’application concrète des bonnes pratiques définies par le guide des bonnes pratiques édition 2011 et d’établir des benchmarks. 

Le développement de l’utilisation d’un tel outil multilingue devrait renforcer les liens de la communauté biomédicale internationale, tout en identifiant et en acceptant des items spécifiques aux contextes professionnels, normatifs ou réglementaires de chaque pays.

La proposition de mettre en place un forum entre professionnels biomédicaux vise à favoriser les échanges entre eux comme source de mutualisation des bonnes pratiques professionnelles au niveau national ou international.

L’exploitation et l’amélioration continue d’un tel outil full web multilingue d’évaluation des bonnes pratiques en ingénierie biomédicale pourraient alors contribuer à l’évolution de la qualité et la sécurité des soins dispensés aux patients et renforcer ainsi la confiance entre malade et établissement de santé.


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Références Bibliographiques

[1] Guide des Bonnes Pratiques Biomédicales en Etablissement de Santé, Farges G. (UTC), Wahart G. (Pdte AFIB), Denax J.M. (Pdt AAMB), Métayer H. (Pdt ATD) et 45 co-auteurs, ITBM-RBM News, Ed Elsevier, novembre 2002.

[2] Outil de diagnostic pour le Guide des Bonnes Pratiques Biomédicales en Etablissement de Santé, M. Dhorne, Ph. Tappie, G.Farges, Ed Elsevier, ITBM-RBM News, 2003

[3] Guide des Bonnes Pratiques de l'Ingénierie Biomédicale en Etablissement de Santé, G. Farges, C. Bendele, M.Decouvelaere, P. Kouam, Ph. Labrousse, M. Lafont, G. Romain, G. Zoabli et coll., Lexitis éditions, 2011, http://www.lespratiquesdelaperformance.fr

[4] Nouvelle maquette de l’outil full-web avec le guide version 2011 :  https://www.utc.fr/gbpb2011

[5] Ancienne maquette avec le guide des bonnes pratiques biomédicales, version 2002: https://www.utc.fr/gbpb

[6] Autodiagnostic "full web" pour le Guide des Bonnes Pratiques de l'Ingénierie Biomédicale, version 2011 (sous réserve de modifications), FLORES SOTO Gloria Eliuth, SOLMON François, ZARRAD Khawla, Projet d'Intégration, MASTER Management de la Qualité (MQ) et Mastère Spécialisé Normalisation, Qualité, Certification, Essai (NQCE),UTC, 2011-2012,
https://www.utc.fr/master-qualite, puis "Travaux" "Qualité-Management", réf n° 205



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Annexes
1. Risques associés au projet

Annexe 1 - Logigramme risques - alternatives
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2. Planning
Ça était difficle d’élaborer un planning globale du projet du au fait qu’on était pas sur  des différentes étapes à suivre tout au long du semestre. En plus notre groupe est un mélange de master MQ et master STS donc il était plus ou moins difficile de se voir pour faire un planning et le définir. Pour ce fait, on a seulement établit le planning pour le premier jalon qu’on va améliorer dans le 2ème jalon en donnat le planning global du projet.
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Annexe 2 - Planning jusqu'au jalon 3

3. Tables: Interface utilisateur

Annexe 3 - Tables interface utilisateur
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4. Tables: grille d'autodiagnostic

Annexe 4 - Tables grille d'autodiagnostic

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