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L'UTC au nouveau classement des écoles d'ingénieurs du Figaro

La rédac­tion du Figa­ro a publié son pre­mier clas­se­ment des meilleures écoles d'ingénieurs.

Elle a attri­bué les plus gros coef­fi­cients à la qua­li­té du recru­te­ment, notam­ment avec les men­tions au bac des élèves reçus, le rang dans les clas­se­ments inter­na­tio­naux comme Shan­ghai et le cabi­net QS et les salaires de sortie.

Huit caté­go­ries dis­tinctes ont été choi­sies, défi­nies en ana­ly­sant les grandes thé­ma­tiques ensei­gnées dans les écoles d'ingénieurs.

En plus de ces caté­go­ries sec­to­rielles, deux autres caté­go­ries ont été rete­nues : « Écoles d'excellence » et « Écoles géné­ra­listes et pluridisciplinaires ».

Le clas­se­ment dans lequel l'UTC appa­raît est celui des écoles d'excellence qui hié­rar­chise les 21 meilleures écoles d'ingénieurs fran­çaises, sélec­tion­nées car étant les plus deman­dées à la fois par les étu­diants des pré­pas les plus pres­ti­gieuses et par les meilleurs lycéens.

L'UTC se place ain­si en 2e place des écoles publiques post-bac de cette catégorie.

Elle est par ailleurs 2e dans la caté­go­rie « génie indus­triel-génie méca­nique » et 6e dans la caté­go­rie « numé­rique – infor­ma­tique – mathématiques ».

En savoir plus sur le classement

Raphaël Jau­rès, étu­diant en GI, rem­porte le Tro­phée de l’Ingénieur pour l’innovation avec son pro­jet Watsyn.

Le mar­di 3 décembre 2019 avait lieu la céré­mo­nie des Tro­phées du Futur 2019, au cours de laquelle Raphaël Jau­rès, étu­diant en génie infor­ma­tique, a rem­por­té le tro­phée de l'ingénieur pour l'innovation pour son pro­jet « Wat­syn » (un pro­jet de réseau de sondes auto­nomes pour sur­veiller la com­po­si­tion des cours d'eau).

Dans la même caté­go­rie, Moha­med Soli­man, étu­diant en génie méca­nique à l'UTC, était lui aus­si nomi­né pour son pro­jet « pati­neur sans fron­tières » (créa­tion de rol­lers élec­triques ani­més par les mou­ve­ments du patineur).

Jéré­my Poin­tel et son asso­cié Arnaud Phi­lippe, fraî­che­ment diplô­mé IM-IDI, étaient quant à eux nomi­nés pour leur pro­jet « Swam » (un siphon qui se visse sur une tuyau­te­rie en PVC d'évier clas­sique, qui per­met de déri­ver l'eau grise pour la récu­pé­rer dans un arro­soir et la réuti­li­ser pour l'arrosage ou les toi­lettes) dans la caté­go­rie « ingé­nieurs tech for good ».

La remise des récom­penses Rober­val s’est dérou­lée same­di 16 novembre der­nier au théâtre impérial.

Fran­çois Lan­ge­vin est lau­réat du 32e prix Rober­val 2019 de la caté­go­rie « ensei­gne­ment supé­rieur » pour le livre : Archi­tec­ture et ingé­nie­rie à l'hôpital. Le défi de l'avenir, aux Presses de l'EHESP : Rennes (France).

Cet ouvrage a pour but d'imaginer l'hôpital de demain. Il fait un état des lieux de l'hospitalisation fran­çaise et déve­loppe les enjeux et les dif­fi­cul­tés aux­quels elle est confron­tée : vieillis­se­ment de la popu­la­tion, aug­men­ta­tion du nombre de patho­lo­gies chro­niques, déve­lop­pe­ment des prises en charge ambu­la­toire, entrée du numé­rique dans le sec­teur san­té, pro­grès tech­no­lo­giques. Des pro­fes­sion­nels (direc­teurs d'hôpital, ingé­nieurs, archi­tectes…) et uni­ver­si­taires les plus com­pé­tents dans leur domaine décrivent leur cœur de métier et pré­sentent de nom­breuses réa­li­sa­tions et pro­jets archi­tec­tu­raux en France et à l'étranger.

Fran­çois Lan­ge­vin, doc­teur en maths appli­quées, HDR, cher­cheur à l'université de tech­no­lo­gie de Com­piègne (UTC), forme des ingé­nieurs bio­mé­di­caux hos­pi­ta­liers. Depuis 2013, il est titu­laire de la Chaire de Mana­ge­ment des tech­no­lo­gies de san­té à l'EHESP. Il tra­vaille sur l'impact des nou­velles tech­no­lo­gies sur les orga­ni­sa­tions de san­té en élar­gis­sant aux autres dis­ci­plines de l'ingénierie : archi­tec­ture et tra­vaux, numé­rique et logistique.

Retrou­vez tous les lau­réats, coups de cœur et men­tions du jury dans le com­mu­ni­qué de presse officiel

Béran­gère BIHAN-AVALLE, pro­fes­seure au GEC, a été inter­viewé par Pro­teo­Ge­nix, sur ses recherches dans le domaine du Phage Dis­play, thé­ma­tique lau­réate du prix Nobel de Chi­mie 2018, et de son uti­li­sa­tion pour l’identification d’Abzymes, des pro­téines com­bi­nant les pro­prié­tés de liai­sons des anti­corps à des pro­prié­tés cata­ly­tiques et les poten­tielles retom­bées thérapeutiques.

Retrou­vez l'interview com­plète sur le blog de ProteoGenix.

Deux étu­diants de l'UTC, Mathilde Blon­del et Roma­ric Dela­haie, de la filière Ingé­nie­rie du desi­gn indus­triel (IDI) au sein du dépar­te­ment d'ingénierie méca­nique (IM), ont rem­por­té le pres­ti­gieux concours James Dys­on Award 2019, orga­ni­sé par la Dys­on Foun­da­tion, avec un concept de bra­ce­let connec­té anti-agres­sion. Ils sont désor­mais en lice pour le concours international.

Ce concours, créé en en 2004 par James Dys­on, récom­pense chaque année, au niveau natio­nal et inter­na­tio­nal, l'ingéniosité et la créa­ti­vi­té des étu­diants en desi­gn indus­triel, desi­gn pro­duit et ingénierie.

Mathilde et Roma­ric ont béné­fi­cié de l'accompagnement d'Emma­nuel Cor­bas­son, ensei­gnant-cher­cheur res­pon­sable de la filière IDI, qui accom­pagne chaque année les étu­diants au James Dys­on Award.

Eve, un bracelet anti-agression connecté

Alors que les vio­lences faites aux femmes atteignent des niveaux records dans le monde entier, les sys­tèmes d'auto-défense sont bien sou­vent déri­soires et ont une faible effi­ca­ci­té, à l'image des sprays au poivre par exemple.

Par­tant de ce constat, Mathilde et Roma­ric ont alors ima­gi­né un dis­po­si­tif, sous la forme d'un bra­ce­let dénom­mé « EVE », per­met­tant d'être acti­vé rapi­de­ment en cas d'agression.

Une fois déclen­ché manuel­le­ment ou par com­mande vocale, il émet ain­si une son­ne­rie dis­sua­sive et pré­vient direc­te­ment les auto­ri­tés, leur indi­quant la loca­li­sa­tion pré­cise de l'émetteur, ain­si que des enre­gis­tre­ments audio de l'agression.

Uti­li­sable pour tout type d'agressions, le dis­po­si­tif béné­fi­cie des der­nières tech­no­lo­gies de com­mu­ni­ca­tion pour envoyer les don­nées rapi­de­ment et ne pas être encom­brant. Il est éga­le­ment à l'abri des cybe­rat­taques, afin de pro­té­ger ses don­nées personnelles.

Mathilde et Roma­ric rece­vront leur prix en Novembre au siège de Dys­on France. Leur pro­jet va concou­rir au niveau inter­na­tio­nal à l'International James Dys­on Award, avec un résul­tat fin Octobre.

En savoir plus sur EVE

Le clas­se­ment du Times Higher Edu­ca­tion (THE) World Uni­ver­si­ty Ran­kings 2020 est sor­ti : l'UTC y figure entre la 601e et 800e place au clas­se­ment géné­ral

L'UTC est éga­le­ment la 4e uni­ver­si­té fran­çaise (5e en 2019) dans la caté­go­rie « inter­na­tio­nal out­look » (rayon­ne­ment inter­na­tio­nal) et la 13e uni­ver­si­té fran­çaise dans la caté­go­rie « Indus­try income » (reve­nus de l'industrie).

Créé en 2004, ce clas­se­ment, publié par le maga­zine lon­do­nien du même nom, uti­lise 13 cri­tères, regrou­pés en 5 caté­go­ries : le cadre de tra­vail, le nombre et la por­tée des recherches, l'influence de ces recherches, la renom­mée à l'international des pro­fes­seurs, ain­si que les rela­tions avec les entreprises.

Clas­se­ment complet

Par ailleurs, l'UTC se place entre la 100e et 150e place (150e/200e en 2018) au clas­se­ment Times Higher Edu­ca­tion (THE) Young Uni­ver­si­ty Ran­kings 2019, qui met en avant les uni­ver­si­tés âgées de moins de 50 ans.

L'UTC se posi­tionne ain­si en 3e place des uni­ver­si­tés fran­çaises dans la caté­go­rie « inter­na­tio­nal out­look » (rayon­ne­ment inter­na­tio­nal), et en 5e place des uni­ver­si­tés fran­çaises dans la caté­go­rie « indus­try income » (reve­nus de l'industrie).

Clas­se­ment complet

En pré­sence de Phi­lippe Cour­tier, direc­teur de l’UTC, les der­nières signa­tures des direc­teurs des UT et du pré­sident de SHU ont été por­tées le jeu­di 18 juillet à la conven­tion de créa­tion du mas­ter UTSEUS de SHU.

Depuis le 8 mars der­nier, le comi­té de pilo­tage d'UTSEUS avait d'ores et déjà signé un accord au sujet du lan­ce­ment du pro­gramme de mas­ter UTSEUS. Tour­né vers la méca­tro­nique, au sens large des « sys­tèmes cyber­phy­siques », le pro­gramme per­met­tra d'obtenir à la fois le diplôme de mas­ter de l'université de Shan­ghai et le diplôme de mas­ter du groupe des uni­ver­si­tés de tech­no­lo­gie en France.

Ce mas­ter recru­te­ra envi­ron 100 étu­diants chi­nois et fran­çais par an. Un nou­vel accord de coopé­ra­tion d'UTSEUS sera signé d'ici la fin de 2020. Le comi­té a éga­le­ment conve­nu de le pro­lon­ger pour une durée de 20 ans à comp­ter de 2025.

Lilan­dra Bou­lais, doc­to­rante dans l'équipe CBB du labo­ra­toire BMBI a reçu le prix Monique Adolphe pour la meilleure pré­sen­ta­tion « Mon pro­jet de recherche en 180 secondes », lors du congrès de la Socié­té de Toxi­co­lo­gie Cel­lu­laire et Molé­cu­laire, qui s'est tenu à Paris les 13 et 14 juin.

Ce prix récom­pense sa pré­sen­ta­tion et ses tra­vaux sur un modèle de foie en 3D dans un dis­po­si­tif asso­ciant micro­flui­dique et hydro­gel macroporeux.

En savoir plus

La 30ème édi­tion de la confé­rence IEEE IV 2019 dédiée aux véhi­cules intel­li­gents, s'est tenue du 9 au 12 juin 2019 à Paris. Cette confé­rence a ras­sem­blé des experts scien­ti­fiques inter­na­tio­naux, aca­dé­miques et indus­triels, autour des der­nières avan­cées théo­riques et tech­no­lo­giques sur les véhi­cules intelligents.

Les membres du labo­ra­toire Heu­dia­syc y ont pré­sen­tés 5 com­mu­ni­ca­tions avec actes.

La der­nière jour­née était consa­crée à des démons­tra­tions de véhi­cules expé­ri­men­taux sur des pistes d’essai. 18 démons­tra­tions ont été pré­sen­tées par des équipes com­po­sées d’industriels et d'universitaires. Les démons­tra­tions por­taient sur des sys­tèmes d'aide à la conduite, des véhi­cules à grandes capa­ci­tés d’autonomie et des véhi­cules com­mu­ni­cants et coopé­ra­tifs. Plus de 500 par­ti­ci­pants ins­crits y ont participé.

Le labo­ra­toire Heu­dia­syc a pré­sen­té une démons­tra­tion d'insertion dans un rond-point avec deux véhi­cules robo­ti­sés.

Expli­ca­tions sur les démons­tra­tions réa­li­sées

Un sys­tème embar­qué com­plet incluant un algo­rithme de convoi vir­tuel a été étu­dié et pro­to­ty­pé sur deux véhi­cules expé­ri­men­taux du labo­ra­toire. Ce sys­tème per­met aux véhi­cules de déci­der quand ils peuvent s'insérer dans un rond-point et ce en toute sécu­ri­té car une dis­tance de sécu­ri­té est tou­jours main­te­nue entre les véhi­cules pen­dant le fran­chis­se­ment du rond-point. L'objectif est que les véhi­cules prennent des déci­sions sur­es pour évi­ter tout acci­dent en s'insérant ou en cédant le pas­sage, en fonc­tion du com­por­te­ment des autres véhi­cules pré­sents. Le fran­chis­se­ment de ronds-points est un pro­blème par­ti­cu­liè­re­ment com­plexe pour les véhi­cules auto­nomes évo­luant sur des routes ouvertes à la cir­cu­la­tion publique.

Thier­ry Denoeux, pro­fes­seur au labo­ra­toire Heu­dia­syc de l'université de tech­no­lo­gie de Com­piègne (UTC) est lau­réat du pres­ti­gieux pro­gramme « 1000 talents » de la muni­ci­pa­li­té auto­nome de Shanghai.

Ce pro­gramme per­met de recon­naître et de recru­ter des experts inter­na­tio­naux de pre­mier plan en recherche scien­ti­fique, en inno­va­tion et en entre­pre­neu­riat. Il per­met éga­le­ment de ren­for­cer l'innovation et la com­pé­ti­ti­vi­té inter­na­tio­nale en Chine.

En 2010, il devient la plus haute récom­pense décer­née dans le cadre du Plan natio­nal de déve­lop­pe­ment des talents de la Chine.Suite à cette nomi­na­tion, T. Denoeux occu­pe­ra un poste de pro­fes­seur "conjoint" entre l'UTC et l'université de Shan­ghai (SHU).

Les postes de pro­fes­seurs " conjoints " (ou invi­tés) entre les UT et SHU consti­tuent une des moda­li­tés du ren­for­ce­ment de la pré­sence des UT au sein de l'université de tech­no­lo­gie sino-euro­péenne de l'université de Shan­ghai (UTSEUS), tant sous l'angle des ensei­gne­ments que du déve­lop­pe­ment d'une recherche struc­tu­rée autour de quelques axes.

Dans ce cadre, T. Denoeux déve­loppe, en col­la­bo­ra­tion avec les labo­ra­toires Heu­dia­syc et Rober­val de l'UTC, une recherche autour de la " science des don­nées pour les sys­tèmes cyber­phy­siques ", sujet en lien avec le thème rete­nu pour le futur mas­ter de l'UTSEUS.

Enfin, T. Denoeux a mis en place et coor­donne une nou­velle UV (ML01 Machine lear­ning) dis­pen­sée pour la pre­mière fois au prin­temps 2019 pour les étu­diants chi­nois et fran­çais de l'UTSEUS, ouvert aux étu­diants de fin de bache­lor ou début de branche.

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