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Ouverture internationale

Avec 207 par­te­naires dont 6 par­te­na­riats stra­té­giques avec des uni­ver­si­tés de renom­mée inter­na­tio­nale, ain­si qu’un cam­pus à Shan­ghai, chaque diplô­mé sort de l’UTC en ayant effec­tué au mini­mum un semestre à l’étranger. Une expé­rience qui encou­rage 12% d’entre eux à tra­vailler ensuite à l’étranger.

Nos alliances

Politique internationale

Depuis sa créa­tion, l'UTC consi­dère qu'une rela­tion forte avec le monde indus­triel et une solide dimen­sion inter­na­tio­nale sont essen­tielles pour offrir des cours d'ingénierie et des acti­vi­tés de recherche de haute qua­li­té. C'est pour­quoi l'UTC a appli­qué une poli­tique inter­na­tio­nale qui consiste en :

  • une forte syner­gie entre l'enseignement et la recherche ;
  • une forte connexion avec le monde industriel ;
  • des offres d'enseignement des langues très diversifiées ;
  • des rela­tions inter­na­tio­nales fortes pour l'enseignement et la recherche afin de for­mer des ingé­nieurs, des titu­laires de mas­ter et de doc­to­rat inter­na­tio­naux capables de tra­vailler sur un mar­ché du tra­vail mondialisé.

L'UTC vise ain­si à créer des rela­tions inter­na­tio­nales à long terme avec ses par­te­naires afin de déve­lop­per des alliances stra­té­giques, des accords de double diplôme, des enti­tés de recherche com­munes et des échanges d'étudiants stables.

Nos partenariats

En Europe, l’UTC met l’accent sur la concré­ti­sa­tion de nou­velles col­la­bo­ra­tions avec les par­te­naires euro­péens. L’établissement compte 113 par­te­naires euro­péens toutes spé­cia­li­tés confon­dues, qui tendent à évoluer.

Hors Europe, nous comp­tons 94 par­te­naires inter­na­tio­naux toutes spé­cia­li­tés confon­dues, qui tendent à évoluer.

Depuis de nom­breuses années, l'UTC est titu­laire de la charte Eras­mus+ pour l'enseignement supé­rieur. Cette dis­tinc­tion per­met à l'établissement de déve­lop­per ses par­te­na­riats euro­péens, ain­si que de ren­for­cer la qua­li­té de la mobi­li­té de ses étu­diants, de ses ensei­gnants et de son personnel. 

De plus, l'engagement de l'UTC dans le pro­gramme Eras­mus+ s'inscrit plei­ne­ment dans sa stra­té­gie inter­na­tio­nale visant notam­ment à sou­te­nir la moder­ni­sa­tion et l'internationalisation.

Men­tions légales : Ce pro­jet a été finan­cé avec le sou­tien de la Com­mis­sion euro­péenne. Cette publi­ca­tion n'engage que son auteur et la Com­mis­sion euro­péenne n'est pas res­pon­sable de l'usage qui pour­rait être fait des infor­ma­tions qui y sont contenues.

Erasmus+ accompagne les personnes en situation de handicap

La démo­cra­ti­sa­tion du pro­gramme Eras­mus + est un des objec­tifs du pro­gramme pour la période 2014–2020. Eras­mus+ vise à pro­mou­voir l'équité et l'inclusion en faci­li­tant "l'accès des par­ti­ci­pants issus de milieux défa­vo­ri­sés et ayant moins de pos­si­bi­li­tés que leurs pairs, lorsque la situa­tion de ces per­sonnes limite ou empêche leur par­ti­ci­pa­tion à des acti­vi­tés trans­na­tio­nales". Par­mi les fac­teurs limi­tant la mobi­li­té de ces per­sonnes, sont cités les obs­tacles socio-éco­no­miques, mais aus­si le han­di­cap ou les pro­blèmes de santé :

  • han­di­cap (à savoir les par­ti­ci­pants ayant des besoins par­ti­cu­liers) : per­sonnes pré­sen­tant un han­di­cap men­tal (intel­lec­tuel, cog­ni­tif, ou trouble de l'apprentissage), phy­sique, sen­so­riel, ou autre ;
  • pro­blèmes de san­té : per­sonnes souf­frant de pro­blèmes de san­té chro­niques, de mala­dies graves ou de patho­lo­gies psy­chia­triques.

Une prise en charge complète des frais supplémentaires liés au handicap

Ce point est par­ti­cu­liè­re­ment inté­res­sant pour les béné­fi­ciaires poten­tiels du pro­gramme Eras­mus+, puisque le pro­gramme pré­voit une prise en charge par­ti­cu­lière incluant les coûts addi­tion­nels concer­nant direc­te­ment les par­ti­ci­pants han­di­ca­pés et les per­sonnes qui les accom­pagnent. Le pro­gramme pré­voit éga­le­ment des finan­ce­ments sup­plé­men­taires pour per­mettre aux par­ti­ci­pants concer­nés d'avoir accès à des sou­tiens tech­niques et péda­go­giques adap­tés. L'intégralité des frais direc­te­ment liés au han­di­cap du par­ti­ci­pant et, le cas échéant, d'un accom­pa­gna­teur est prise en charge par le pro­gramme, y com­pris les frais de voyage et de sub­sis­tance des accompagnants.

Erasmus + ou AMI : Bourses disponibles, prêts étudiants et aides au départ

Lors de la pré­pa­ra­tion de votre départ à l'étranger il est impor­tant de bien réa­li­ser son bud­get mois par mois pour évi­ter toute sur­prise. Vous pou­vez comp­ter sur des aides dis­po­nibles pour vous accom­pa­gner comme la bourse Eras­mus ou la bourse AMI mais si vous n'êtes pas éli­gible à ces bourses ou qu'il vous fau­dra un com­plé­ment pour vivre, vous pou­vez vous ren­sei­gner sur les dif­fé­rents prêts étu­diants. Dif­fé­rentes banques pro­posent des prêts étu­diants per­met­tant leur obten­tion sans garan­tie ou sans avoir de garant. Il est aus­si pos­sible d'ouvrir pour les jeunes des comptes en banque sans garan­tie de reve­nus. Ces der­nières vous pro­po­se­ront pour cer­taines des cartes ban­caires gra­tuites et une ges­tion effi­cace de vos besoins et démarches.

Partenariats stratégiques

Un par­te­na­riat inter­na­tio­nal stra­té­gique se carac­té­rise par les élé­ments consti­tu­tifs suivants :

  • une taille cri­tique en termes d’étudiants, ensei­gnants-cher­cheurs, cher­cheurs et per­son­nel concerné ;
  • plu­sieurs aspects allant de la for­ma­tion, à la recherche et l’innovation ;
  • visi­bi­li­té à l’échelle ins­ti­tu­tion­nelle et par le par­te­naire concerné ;
  • trans­ver­sa­li­té thé­ma­tique et poten­tiel d’ouverture sur plu­sieurs dépar­te­ments, branches et thé­ma­tiques de for­ma­tion et de recherche ;
  • tra­jec­toire de déve­lop­pe­ment par­ta­gée et assu­mée par les deux par­te­naires pou­vant prendre la forme de plates-formes et de labo­ra­toires conjoints.

Par­mi les par­te­na­riats d’envergure et com­por­tant un poten­tiel de par­te­na­riat stra­té­gique, voi­ci ceux qui sont à ce stade identifiés.

La Tech­nische Uni­ver­sität Braun­sch­weig (20 000 étu­diants et 3 700 per­son­nels) est une uni­ver­si­té alle­mande publique qui se situe dans le Land de Basse Saxe dans la ville de Braun­sch­weig en Alle­magne. Les thé­ma­tiques fortes de recherche sont les sui­vantes : 1) Mobi­li­ty, 2) Metro­lo­gy, 3) Infec­tion and The­ra­peu­tics et 4) Future City. (En savoir plus sur les thé­ma­tiques)
La TUBS fait par­tie des par­te­naires his­to­riques de l'UTC. Depuis 1989, 130 étu­diants alle­mands sont venus à l'UTC, pour 350 étu­diants de l'UTC qui ont fait un séjour d'études ou un double-diplôme à la TU Braun­sch­weig. En recherche, la col­la­bo­ra­tion concerne en par­ti­cu­lier l'ingénierie méca­nique et le génie des pro­cé­dés qui ont don­né lieu à des cotu­telles de thèse et pro­jets euro­péens. Entre 2013 et 2019, il y a eu 11 co-publi­ca­tions, impli­quant 13 co-auteurs, signées par les deux éta­blis­se­ments.
16 juillet 2020 : pre­mier work­shop vir­tuel
Un pre­mier work­shop vir­tuel de recherche avec la TU Braun­sch­weig, s’est tenu jeu­di 16 juillet 2020. Ani­mé par le pro­fes­seur Diet­zel, doyen de la facul­té d’ingénierie méca­nique de la TU Braun­sch­weig et res­pon­sable alle­mand du double-diplôme, il a réuni 20 col­lègues issus des deux éta­blis­se­ments. Les thèmes de la mobi­li­té, de la ville du future ain­si que des infec­tions et leurs trai­te­ments ont été abor­dés. Un deuxième sémi­naire se tien­dra phy­si­que­ment en Alle­magne à l’automne 2020.
Par­te­na­riat UTC/TUBS 

L'UTC, un par­te­naire majeur

Pro­fes­seur à Cran­field Uni­ver­si­ty (Grande-Bre­tagne), Fady Moha­reb est res­pon­sable de l’équipe de bio-infor­ma­tique au sein du labo­ra­toire dédié à l’agroalimentaire. Il a été éga­le­ment, entre 2010 et 2018, res­pon­sable péda­go­gique du Euro­pean Part­ner­ship Pro­gramme, un double cur­sus mis en place par Cran­field Uni­ver­si­ty. Il détaille la nature des rela­tions entre les deux ins­ti­tu­tions.
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Des micro-organes sur bio­puce
Direc­teur de recherche CNRS au labo­ra­toire Bio­Mé­ca­nique et BioIn­gé­nie­rie (BMBI) de l’UTC et du CNRS entre 2003 et 2015, Éric Leclerc col­la­bore, au sein du LIMMS (Labo­ra­to­ry of Inte­gra­ted Micro Mecha­tro­nic Sys­tems), une uni­té mixte inter­na­tio­nale (CNRS/université de Tokyo), avec des équipes fran­co-japo­naises. 
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Labo­ra­toire fran­co-mexi­cain d'informatique et d'automatique (LAFMIA) – UMI 3175
Dans le cas d’une coopé­ra­tion scien­ti­fique bila­té­rale – comme celle déve­lop­pée entre la France et le Mexique -, l’Unité mixte inter­na­tio­nale (UMI) appa­raît comme une réponse adap­tée à un besoin de mise en réseau d’un ensemble de par­te­naires : uni­ver­si­tés, labo­ra­toires, indus­triels… Il s’agit d’une struc­ture opé­ra­tion­nelle de recherche et de for­ma­tion, com­po­sée de cher­cheurs, ensei­gnants-cher­cheurs, étu­diants, post­doc­to­rants, et dont le fonc­tion­ne­ment est com­pa­rable à celui d’une Uni­té mixte de recherche (UMR) en France.
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Inter­na­tio­nal Research Pro­ject
" Approches de Diag­nos­tic et de cONtrôle Intel­li­gent des Sys­tèmes"

Le pro­gramme ADONIS porte sur le diag­nos­tic et le contrôle intel­li­gent des sys­tèmes. Il asso­cie des cher­cheurs de 4 orga­nismes et uni­ver­si­tés par­te­naires : CNRS France ; CNRS Liban ; Uni­ver­si­té de tech­no­lo­gie de Com­piègne (UTC) ; Uni­ver­si­té Liba­naise (UL), ayant des centres d’intérêt com­muns et une volon­té de col­la­bo­rer dans les domaines du contrôle, de l’analyse des don­nées, de la maî­trise des incer­ti­tudes et ceci dans plu­sieurs cadres d’études, comme notam­ment les sys­tèmes bio­mé­di­caux, les sys­tèmes de trans­port et les sys­tèmes robo­tiques et méca­tro­niques.
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Partenariats privilégiés

Les par­te­na­riats inter­na­tio­naux pri­vi­lé­giés se dis­tinguent par les élé­ments consti­tu­tifs suivants :

  • Le par­te­na­riat pré­sente une taille cri­tique en termes d’étudiants, ensei­gnants-cher­cheurs, cher­cheurs et per­son­nel concerné ;
  • Il couvre plu­sieurs aspects allant de la for­ma­tion, à la recherche et l’innovation ;
  • Il s’agit d’un par­te­na­riat iden­ti­fiable et visible à l’échelle ins­ti­tu­tion­nelle et par le par­te­naire concerné.

L’objectif de ces par­te­na­riats est de per­mettre des mobi­li­tés flé­chées en grand nombre et incluant si pos­sible l’option d’un double-diplôme ou d’un par­cours séjour-stage à l’étranger. Il peut être mono­thé­ma­tique, mais pré­sente un inté­rêt fort, mais ciblé, d’un labo­ra­toire, dépar­te­ment. Ces par­te­na­riats pri­vi­lé­giés sont coor­don­nés par un ensei­gnant-cher­cheur, cher­cheur ou per­son­nel référent. 

À titre d’exemple d’un tel par­te­na­riat, on peut citer les col­la­bo­ra­tions avec : 

Double diplômes

La notion de cur­sus bi-diplô­mant à l'international recouvre la pos­si­bi­li­té pour un élève ingé­nieur fran­çais ou étran­ger de se voir décer­ner les diplômes de deux éta­blis­se­ments por­tant sur le même domaine, l'un en France, l'autre à l'étranger, dans les­quels il a effec­tué une par­tie suf­fi­sante (au regard des règle­ments natio­naux ou de l'établissement le régis­sant) de son cursus.

Pourquoi effectuer un double diplôme ?

L'avantage est une vraie connais­sance appro­fon­die d'un autre sys­tème et de l'augmentation de l'attractivité de la/du future ingénieur/e pour le mar­ché de l'emploi de ce deuxième pays ain­si que pour des groupes indus­triels opé­rant mondialement.

Les doubles diplômes ral­longent de ce fait la durée des études, d'environ un semestre, c'est-à-dire de 6 mois, voire d'une année.

Atten­tion : cer­tains doubles diplômes requièrent le paie­ment de frais de sco­la­ri­té étran­gers, pour de plus amples infor­ma­tions, n'hésitez pas à nous contacter.

Albanie

  • Uni­ver­si­té Poly­tech­nique de Tira­na : Branches concer­nées : GI – Diplôme de mas­ter ISC. Durée 12 mois

Allemagne 

  • Tech­nische Uni­ver­sität Braun­sch­weig (TU-BS/UTC) – Branches concer­nées (GB/GP/IM/GSU). Durée 18 mois mini­mum. Niveau d'allemand requis : LA03 (B2). Les étu­diants sélec­tion­nés pour le double diplôme peuvent pré­tendre à une aide finan­cière de l'université fran­co-alle­mande (UFA). Des sémi­naires inter­cul­tu­rels font éga­le­ment par­tie du pro­gramme (en février à Braun­sch­weig ; en juin à Com­piègne). Par­te­na­riat UTC/TUBS 
  • Ber­lin School of Eco­no­mics and law: Mas­ter Eras­mus Mun­dus EPOG+ (pla­quette)

Autriche

  • Vien­na uni­ver­si­ty of eco­no­mics and law: Mas­ter Eras­mus Mun­dus EPOG+ (pla­quette)

Espagne

  • Uni­ver­si­tat Poli­tec­ni­ca De Cata­lu­nya - Branches concer­nées : GI – Diplôme de mas­ter ISC. Durée 12 mois. 

Italie

  • Uni­ver­si­tà degli stu­di di Tori­no – Mas­ter Eras­mus Mun­dus EPOG+ (pla­quette)
  • Uni­ver­si­tà degli stu­di di Roma Tre - Mas­ter Eras­mus Mun­dus EPOG+ (pla­quette)
  • Uni­ver­si­tà degli stu­di di Geno­va – Branches concer­nées : GI – Diplôme de mas­ter ISC. Durée 12 mois

Royaume-Uni

  • Cran­field Uni­ver­si­ty (CIT/UTC) – Branches concer­nées : GB/GP/GI/IM. Durée : 12 mois (en paral­lèle avec la der­nière année d'études GX05 – GX06). Niveau d'anglais requis : LA13. Les étu­diants doivent vali­der le TOEFL.

Afrique du Sud

  • Uni­ver­si­ty of the Wit­wa­ters­rand – Mas­ter Eras­mus Mun­dus EPOG+ (pla­quette)

Égypte

  • Uni­ver­si­té Fran­çaise d’Egypte – Branche concer­née GI, Mas­ter ISC. Durée 12 mois

Maroc

  • Uni­ver­si­té Moham­med V - École Natio­nale Supé­rieure d'Arts et Métiers de Rabat (ENSAM) – Branche concer­née IM. Durée 18 mois + 1 stage. Niveau de langue requis : Anglais B2.

Argentine

  • Uni­ver­si­dad Nacio­nal del Sur – Branche concer­née : GP. 
  • Uni­ver­si­dad Fava­lo­ro – Branche concer­née : GB. 

Brésil

  • Uni­ver­si­dade Fede­ral do Paraná – Branche concer­née : IM. 
  • Uni­ver­si­dade Tec­noló­gi­ca Fede­ral do Paraná – Branches concer­nées : GB/GP/IM – Durée 18 mois. 
  • Uni­ver­si­dade Fede­ral de Ita­jubá (UNIFEI) – Branche concer­née : IM filière aéronautique. 

Chili

  • Uni­ver­si­dad de Val­pa­rai­so – Branche concer­née : GB.

Colombie

  • Escue­la Colom­bia­na de inge­ne­ria – Branches concer­nées : GB, GI, IM, GP et GU. Niveau de langue requis : Espa­gnol B1 (LA22)

Canada

  • École de tech­no­lo­gie supé­rieure (ETS) – Branches concer­nées : toutes. 
  • École poly­tech­nique de Mont­réal – Branches concer­nées : toutes. 
  • Uni­ver­si­té du Qué­bec à Chi­cou­ti­mi – Branches concer­nées : GI/GSU/IM.
  • Uni­ver­si­té Laval – Branches concer­nées IM/GI
  • Uni­ver­si­té de Sher­brooke – Branche concer­née : GSU

États-Unis

  • Geor­gia Ins­ti­tute of Tech­no­lo­gy – Branches concer­nées : GI/IM. TOEFL + GRE exigés.
  • Uni­ver­si­té de Rhode Island – branche concer­née : IM

Chine

  • Xi'an Jiao­tong Uni­ver­si­ty – Branches concer­nées : GB/GI/IM. Durée 18 mois. Niveau d'anglais requis : LA13. Dépôt de can­di­da­ture à la fin du GX02.
  • UTSEUS - Diplôme Mas­ter in Meca­tro­nics Smart Cyber Phy­si­cal Systems 

Japon

  • Chi­ba Ins­ti­tute of Tech­no­lo­gy – Branches concer­nées : GI/IM – Diplôme de master.

Liban

  • Uni­ver­si­té Liba­naise – Branches concer­nées : GI/IM – Diplôme de master. 
  • Uni­ver­si­té Saint Esprit de Kas­lik. Diplôme Mas­ter men­tion Inno­va­tion et Com­plexi­té / ISC / Trans­for­ma­tion et valo­ri­sa­tion des res­sources natu­relles / Ingé­nie­rie des ser­vices et des sys­tèmes. Durée : 12 mois. Niveau de langue requis : B2 anglais

Stratégie de l'UTC en Afrique

Depuis juin 2019, l’UTC s’est enga­gée dans une démarche stra­té­gique explo­ra­toire de l’Afrique subsaharienne.

Au moyen tout d’abord d’un groupe de tra­vail interne, mais éga­le­ment grâce à la par­ti­ci­pa­tion au groupe de tra­vail Afrique dans le cadre de l’Alliance Sor­bonne Uni­ver­si­té, des pro­jets d’envergure se des­sinent peu à peu et devraient bien­tôt voir le jour. 

L’un d’entre eux s’appuierait notam­ment sur l’expertise de l’IRD – Ins­ti­tut de Recherche pour le déve­lop­pe­ment et concer­ne­rait la Côte d’Ivoire, asso­ciant éga­le­ment d’autres éta­blis­se­ments membres de l’Alliance Sor­bonne Université.

Université de technologie sino-européenne de l'université de Shanghai (UTSEUS)

Créée en 2005 par le réseau des uni­ver­si­tés de tech­no­lo­gie fran­çaises et l'université de Shan­ghai, notre école d'ingénieurs est aujourd'hui la pre­mière coopé­ra­tion uni­ver­si­taire sino-fran­çaise, par­te­na­riat pré­cur­seur et unique dans les domaines de la for­ma­tion et de la recherche. L'université de tech­no­lo­gie sino-euro­péenne de l'université de Shan­ghai (UTSEUS) forme ain­si chaque année plus de 1 200 étu­diants chi­nois, fran­çais et euro­péens dans un cadre inter­na­tio­nal et multiculturel. 

Abou­tis­se­ment d'une struc­tu­ra­tion des rela­tions indus­trielles, l'UTSEUS a signé une conven­tion de par­te­na­riat avec de nom­breuses entre­prises : Schei­der Elec­tric Chi­na, Das­sault Sys­tem, Total Chine, Baoxing infor­ma­tion (IT sec­tion of Bao Steel), Micro­pole Chine, HuiYi Finan­cial Infor­ma­tion Ser­vice Com­pa­ny, Air Liquide, ZTE, Sive­co, Decath­lon, Suez, Chi­na Mate­ria­la, Citi­zen, Xerox, Vidon, Tech­no­Chi­na, Fau­re­cia FECT, ACTIA Chi­na, Alca­tel-Lucent Entre­prise Chi­na, ENGIE Chi­na, Lear­ning Tribes Chi­na, Ser­ri­nov, Fau­re­cia (Chi­na) Hol­ding Co., LTD, don­nant lieu à diverses formes de col­la­bo­ra­tions ren­for­cées pour des cours, des confé­rences, des visites d'usines, des pro­jets indus­triels ou spon­so­ri­sés, des stages ou encore des bourses de mobilité.

L'UTSEUS pro­pose aujourd'hui à 4 pro­mo­tions chi­noises des for­ma­tions en génie infor­ma­tique, génie méca­nique, génie bio­lo­gique et science des maté­riaux. Après une for­ma­tion de 3 ans à Shan­ghai, incluant des cours de spé­cia­li­té et des cours inten­sifs de fran­çais, les étu­diants chi­nois peuvent, pour les meilleurs d'entre eux, venir en France pour 2 années d'études et de stage dans l'une des trois uni­ver­si­tés de tech­no­lo­gie pour obte­nir le double diplôme d'ingénieur fran­çais et le Bache­lor of Engi­nee­ring de l'université de Shanghai.

Les étu­diants des Uts peuvent étu­dier à l’UTSEUS dans le cadre d’un semestre d’études du tronc com­mun au cycle ingé­nieur, mais éga­le­ment depuis 2021 un double diplôme en méca­tro­nique inti­tu­lé «  mas­ter en méca­tro­nique sys­tèmes cyber-phy­siques intelligents ».

Nos projets Erasmus+

L’UTC fait par­tie du consor­tium du pro­jet Eras­mus+ KA220 SUSEE. La prin­ci­pale mis­sion du pro­jet SUSEE est de pro­po­ser des méthodes et des outils pour l’intégration de l’enseignement de l’ingénierie sou­te­nable dans les pro­grammes péda­go­giques des uni­ver­si­tés euro­péennes. Ce pro­jet part du constat que cer­taines uni­ver­si­tés ne savent pas com­ment pro­cé­der à cette implé­men­ta­tion. L’objectif du pro­jet SUSEE est de leur appor­ter une aide solide, en offrant des kits clairs et simples et des conte­nus péda­go­giques personnalisables.

Pour cela, le pro­jet SUSEE vise à déve­lop­per de nou­veaux pro­grammes et modules pour inté­grer les aspects de sou­te­na­bi­li­té dans l'éducation en ingé­nie­rie. Quatre petites uni­ver­si­tés euro­péennes col­la­borent au déve­lop­pe­ment, à la concep­tion et à l'intégration de nou­veaux conte­nus de sou­te­na­bi­li­té dans les pro­grammes exis­tants sous forme de cours mutuel­le­ment reconnus.

Le but est éga­le­ment d’augmenter leur capa­ci­té de coopé­ra­tion dans l'Espace euro­péen de l'enseignement supé­rieur et de répondre à une exi­gence impor­tante dans le pro­ces­sus de trans­for­ma­tion des socié­tés européennes.

Concrè­te­ment, SUSEE contri­bue­ra à cela en four­nis­sant les résul­tats clés sui­vants : (i) nou­veaux conte­nus d'enseignement pour la sou­te­na­bi­li­té dans l'éducation en ingé­nie­rie, (ii) un manuel sur la manière d'intégrer la sou­te­na­bi­li­té dans l'éducation en ingénierie.

Uni­ver­si­tés partenaires :

Lien du pro­jet : http://susee-project.eu/

Le pro­jet SUNRISE (Smal­ler Uni­ver­si­ties Net­work for Regio­nal Inno­va­tive and Sus­tai­nable Evo­lu­tion) est une alliance d’universités euro­péennes qui consiste à lut­ter contre la dis­pa­ri­tion poten­tielle des petites uni­ver­si­tés, qui jouent un rôle très impor­tant dans le déve­lop­pe­ment, l’innovation et la dura­bi­li­té dans les régions européennes.

Les petites uni­ver­si­tés sont confron­tées à plu­sieurs défis : le « brain drain » (perte des talents) ; la limi­ta­tion de res­sources ; les dif­fi­cul­tés d’accès à la recherche et aux finan­ce­ments ; l’internationalisation limi­tée ; la concur­rence avec les grandes ins­ti­tu­tions ; mais aus­si le manque d’opportunités de for­ma­tion, de tech­no­lo­gie, d’infrastructure, de diver­si­té, de visi­bi­li­té et d’adaptabilité. Le pro­jet SUNRISE met l’accent sur l’éducation inter­na­tio­nale en favo­ri­sant l’introduction de pro­grammes d’études inno­vants et en encou­ra­geant la mobi­li­té étu­diante. Il favo­rise éga­le­ment la col­la­bo­ra­tion entre l’académie et l’industrie pour déve­lop­per des modèles sym­bio­tiques avec les entre­prises régio­nales. En paral­lèle, les membres de l’alliance s’engagent dans la recherche inter­na­tio­nale et objectent un ren­for­ce­ment des liens et des échanges d’idées.

6 objec­tifs découlent de ce projet :

  • Favo­ri­ser l’éducation inter­na­tio­nale et créer de nou­veaux et inno­vants pro­grammes d’études ;
  • Façon­ner les pierres angu­laires de l’alliance uni­ver­si­taire : apprendre de cha­cun dans l’éducation, la science et l’administration ;
  • Pro­mou­voir les valeurs européennes ;
  • Accroître la col­la­bo­ra­tion inter­na­tio­nale en matière de recherche ;
  • Ren­for­cer la col­la­bo­ra­tion entre le monde aca­dé­mique et l’industrie à tra­vers toutes les mis­sions universitaires ;
  • Ren­for­cer l’innovation et le trans­fert de tech­no­lo­gies, et éta­blir un réseau com­mun de « par­ties pre­nantes » (sta­ke­hol­der network).

Uni­ver­si­tés partenaires :

  • Ilme­nau Uni­ver­si­ty of Tech­no­lo­gy, Allemagne ;
  • Free Uni­ver­si­ty of Bozen-Bol­za­no, Italie ;
  • Uni­ver­si­ty of Infor­ma­tion Tech­no­lo­gy and Mana­ge­ment in Rzeszów, Pologne ;
  • Uni­ver­si­té de Tech­no­lo­gie de Com­piègne, France ;
  • Euro­pean Uni­ver­si­ty Cyprus, Chypre ;
  • Mälar­da­len Uni­ver­si­ty, Suède ;
  • Uni­ver­si­tà Poli­tec­ni­ca delle Marche, Italie ;
  • « Dže­mal Bije­dić » Uni­ver­si­ty of Mos­tar, Bosnie-Herzégovine ;
  • Poly­tech­nic Uni­ver­si­ty of Via­na do Cas­te­lo, Portugal ;

EPOG+ est un Mas­ter Eras­mus Mun­dus, sou­te­nu par l’UTC et 7 autres ins­ti­tu­tions par­te­naires déli­vrant leur diplôme dans le cadre du pro­gramme (Uni­ver­si­té Paris Cité, Sor­bonne Uni­ver­si­té, Uni­ver­si­té de Turin, Ber­lin School of Eco­no­mics and Law, Uni­ver­si­té Rome 3, Vien­na Uni­ver­si­ty of Eco­no­mics and Busi­ness (WU), Uni­ver­si­té du Wit­wa­ters­rand (Wits)).

Son pro­gramme forme les étu­diants sur les pro­ces­sus de tran­si­tion numé­rique, socio-éco­no­mique, éco­lo­gique en inté­grant une dimen­sion économique.

Le pro­gramme compte plus de 30 par­te­naires asso­ciés (aca­dé­miques et non aca­dé­miques) répar­tis dans le monde.

Il se décom­pose en 4 semestres durant les­quels l’étudiant est ame­né, selon la spé­cia­li­té choi­sie, à effec­tuer une mobi­li­té à l’étranger durant la pre­mière année.

Objectifs

CVL4OT is a 24-months pro­ject aiming at online tea­ching orien­ted and tech­no­lo­gy dri­ven deve­lop­ment of a new Bio­ma­te­rials and Tis­sue Engi­nee­ring course syl­la­bubs, the­re­by brin­ging to the edu­ca­tion inno­va­tive remote control­ling expe­ri­men­tal stu­dies for high value appli­ca­tions, with focus on tur­ning vir­tua­li­ty to the reality.

3D prin­ter expe­rience from dis­tance, a new robo­tic prin­ter will be uti­li­zed by online connec­ting from stu­dents com­pu­ter, they will be able to fabri­cate their 3D prin­ted biomaterial.

50 cho­sen Under­gra­duate stu­dents will have Bio­ma­te­rial course in online class­room, they will expe­rience mul­ti­na­tio­nal tea­ching and vir­tual 3D labo­ra­to­ry access from their home. Most impor­tant­ly, online class­room and labo­ra­to­ry desi­gn will be deve­lo­ped to increase the desire of stu­dents to par­ti­ci­pate in online classes.

In this way, it is desi­red to remove the bar­riers such as the Covid-19 pan­de­mic in the trai­ning of qua­li­fied scien­tists for scien­ti­fic research. The pro­ject offers impor­tant out­comes for both stu­dents and tea­chers in prac­ti­cal education.

Partenaires

  • UNIVERSITAT INTERNACIONAL DE CATALUNYA, BARCELONA – Espagne
  • YILDIZ TECHNICAL UNIVERSITY, ISTANBUL – Turquie
  • MARMARA UNIVERSITY, ISTANBUL – Turquie
  • UNIVERSITATEA POLITEHNICA DIN BUCURESTI, BUCHAREST – Roumanie
  • UNIVERSITE DE TECHNOLOGIE DE COMPIEGNE, COMPIEGNE – France

Le pro­jet RIALHE (Remote Intel­li­gent Access to Labs in Higher Edu­ca­tion) vise à amé­lio­rer la com­pré­hen­sion des pro­cé­dures scien­ti­fiques par les étu­diants à par­tir d'un accès à dis­tance à des expé­riences réelles en labo­ra­toire, sui­vi d'activités col­la­bo­ra­tives à l'aide de pla­te­formes technologiques.

Le tra­vail en labo­ra­toire est un aspect essen­tiel de l'enseignement scien­ti­fique et les étu­diants ont rare­ment accès aux labo­ra­toires d'excellence publics et pri­vés. Alors que plu­sieurs pro­jets Eras­mus+ et ini­tia­tives natio­nales se sont concen­trés sur le L&T numé­rique, le pro­jet pro­po­sé est inno­vant car il aborde un cadre péda­go­gique (RIALHE) pour la for­ma­tion en labo­ra­toire en tant que domaine particulier.

Mal­gré la mise à dis­po­si­tion de labo­ra­toires scien­ti­fiques, de nom­breux orga­nismes d'enseignement ne dis­posent pas des res­sources néces­saires pour faire face aux coûts des réac­tifs ou de la main­te­nance. La numé­ri­sa­tion des com­po­sants maté­riels d'un labo­ra­toire est com­pli­quée et coû­teuse. Dans le contexte des labo­ra­toires vir­tuels, où l'expérience est simu­lée, les étu­diants sont confron­tés à des situa­tions où cer­tains aspects des pro­cé­dures res­tent cachés parce que les simu­la­tions ne tiennent pas compte des impré­vus ou des erreurs de mesure. Un opé­ra­teur de labo­ra­toire doit pou­voir faire face à de telles situa­tions qui sont pré­sentes dans une expé­rience réelle.

L'acquisition de cette capa­ci­té est une par­tie impor­tante du pro­ces­sus d'apprentissage qui est per­due dans le monde vir­tuel trop idéa­li­sé. Une métho­do­lo­gie inno­vante, par­ta­gée au niveau euro­péen, implique l'élaboration de com­pé­tences de base, y com­pris la fami­lia­ri­sa­tion avec des équi­pe­ments de labo­ra­toire de pointe qui ne sont pas néces­sai­re­ment acces­sibles à tous les éta­blis­se­ments universitaires.

Objectifs

  • Objec­tif n° 1
    Amé­lio­rer la qua­li­té et la per­ti­nence des acti­vi­tés de labo­ra­toire de l'enseignement supé­rieur pour tous les par­te­naires en four­nis­sant un accès à dis­tance à des envi­ron­ne­ments de labo­ra­toire de pointe et en s'ouvrant à de nou­veaux acteurs, qui ne sont nor­ma­le­ment pas impli­qués dans les par­cours éducatifs.
  • Objec­tif n° 2
    Aug­men­ter la capa­ci­té des par­te­naires à opé­rer conjoin­te­ment à un niveau trans­na­tio­nal en créant et en déve­lop­pant des syner­gies grâce à l'établissement d'un cadre com­mun qui uti­lise des approches par­ti­ci­pa­tives et des métho­do­lo­gies numériques.
  • Objec­tif n°3
    Sti­mu­ler l'internationalisation des acti­vi­tés des par­te­naires, par l'échange et le déve­lop­pe­ment de nou­velles pra­tiques et méthodes, et par le par­tage et la confron­ta­tion d'idées

Partenaires

Ce pro­jet est des­ti­né à ren­for­cer une col­la­bo­ra­tion éta­blie depuis 2009 avec l’Université Poly­tech­nique de Tira­na, Facul­té des Tech­no­lo­gies de l’information, pour par­ti­ci­per au finan­ce­ment de mobi­li­tés étu­diantes et ensei­gnantes en matière de for­ma­tion et de recherche.

Concré­ti­sé par la mise en place d’un double diplôme de mas­ter effec­tif depuis 2019, ce pro­jet permet :

  • aux étu­diants de l’UPT ins­crits en mas­ter Infor­ma­tique ou élec­tro­nique de can­di­da­ter pour un double diplôme avec le mas­ter Ingé­nie­rie des Sys­tèmes Com­plexes à l’UTC. Ain­si, chaque année 5 étu­diants de l’UPT, finan­cés par ce pro­jet, rejoignent l’UTC en double diplôme ;
  • aux étu­diants de l’UTC de finan­cer des mobi­li­tés à Tira­na pour un semestre d’étude (ensei­gne­ment en anglais) ou un semestre de stage.

Des mobi­li­tés des ensei­gnants des deux éta­blis­se­ments à des fins d’enseignement et for­ma­tion sont éga­le­ment pris en charge par le projet.

À ce jour, 11 étu­diants alba­nais en double diplôme, et une autre dizaine de mobi­li­té en semestre d’échange ont été finan­cés ain­si qu’une mobi­li­té d’un étu­diant de l’UTC à Tirana.

Partenaire

Uni­ver­si­té Poly­tech­nique de Tira­na (UPT).

Bien que l'Europe soit en tête de la sphère indus­trielle dans plu­sieurs domaines où les nou­velles tech­no­lo­gies de fabri­ca­tion et numé­riques sont bien éta­blies, le défi est que la tran­si­tion vers l'industrie 4.0 n'est pas abor­dable pour toutes les entre­prises. En effet, l'évolution vers les usines du futur ren­contre une résis­tance de la part des indus­triels et par­fois une crainte en rai­son de la com­plexi­té de la tran­si­tion. Cette trans­for­ma­tion est non seule­ment éco­no­mique, mais aus­si humaine et sociale, ce qui doit être bien pré­pa­ré. De plus, les start-ups et l'entrepreneuriat numé­rique dans le domaine de l'industrie 4.0 ou des domaines connexes ne sont pas assez déve­lop­pés ni en Europe ni dans la région MENA.

En effet, les jeunes diplô­més dans le domaine de l'ingénierie et de la ges­tion ont des dif­fi­cul­tés d'employabilité. En géné­ral, ils essaient de rejoindre des entre­prises déjà exis­tantes et ne pensent pas à lan­cer leur propre pro­jet de PME (start-up ou spin-off).

Ain­si, la concep­tion d'un nou­veau pro­gramme de Mas­ter lié à l'industrie 4.0 et à l'entrepreneuriat numé­rique, qui sera accré­di­té, pour­rait appor­ter quelques solu­tions. Ce Mas­ter vise à for­mer des ingé­nieurs et des ges­tion­naires qua­li­fiés, qui pour­raient opé­rer pour le déve­lop­pe­ment d'un éco­sys­tème inter­dis­ci­pli­naire et créer de nou­veaux emplois liés aux oppor­tu­ni­tés de trans­for­ma­tion numé­rique non seule­ment en Europe mais aus­si dans la région MENA. Plus pré­ci­sé­ment, ce mas­ter se concen­tre­ra sur les com­pé­tences liées à l'industrie 4.0, à la trans­for­ma­tion vers l'industrie 4.0 ain­si que sur celles liées à l'entrepreneuriat numérique.

Grâce à ce pro­gramme Eras­mus + EMDM, le consor­tium com­po­sé de l'Université de Sousse (US), de l'Université de Tech­no­lo­gie de Com­piègne (UTC) et de l'Université de Flo­rence (Uni­FI), vise à accré­di­ter un pro­gramme de mas­ter conjoint inno­vant dont le résul­tat sera des diplô­més com­pé­tents en matière d'industrie 4.0 et d'entreprenariat numé­rique, qui pour­ront agir pour le déve­lop­pe­ment et le ren­for­ce­ment d'un éco­sys­tème indus­triel inter­dis­ci­pli­naire dans un envi­ron­ne­ment en évo­lu­tion rapide non seule­ment en Europe mais aus­si dans la région MENA.

Ce nou­veau pro­gramme de mas­ter contri­bue­ra non seule­ment à créer de nou­velles oppor­tu­ni­tés d'emploi pour les jeunes mais leur per­met­tra éga­le­ment de deve­nir des experts dans des domaines fiables liés à l'industrie 4.0 dans les pro­chaines années.

Partenaires

UTC, Uni­ver­si­ty of Sousse, Uni­ver­si­ty of Flo­rence and Nova­tion City.

Le Prof. Mar­tin Mor­ge­neyer a obte­nu la chaire Jean Mon­net pour l’UTC. Cette chaire se foca­lise sur la tran­si­tion éco­lo­gique, ain­si que sur le rôle de l’ingénierie et de l’Union Euro­péenne pour la faciliter.

La tran­si­tion envi­ron­ne­men­tale devra désor­mais se faire d’un coup, dans une construc­tion d’ensemble. Sa réa­li­sa­tion concrète dépend d’un côté de la mise en œuvre effi­cace de poli­tiques aux échelles conti­nen­tale et glo­bale, et de l’autre côté de savoir-faire tech­no­lo­gique.

L’ingénieur euro­péen doit jouer un rôle cen­tral dans cette réa­li­sa­tion. La chaire Jean Mon­net « Empo­we­ring Europe, Envi­ron­ment, Engi­nee­ring » à l’UTC a été créée pour pré­pa­rer nos diplô­més mais aus­si nos conci­toyens au défi de mise en œuvre tech­no­lo­gique de la tran­si­tion environnementale.

Les chaires Jean Mon­net visent à :

  • appro­fon­dir l’enseignement sur les études euro­péennes figu­rant au pro­gramme offi­ciel d’un éta­blis­se­ment d’enseignement supérieur ;
  • dis­pen­ser un ensei­gne­ment appro­fon­di sur les ques­tions euro­péennes tou­chant des domaines de plus en plus recher­chés sur le mar­ché du travail.

Nos labels

Contacts

Direc­tion aux rela­tions internationales
Gaëlle Dac­q­mine
 +33 (0)3 44 23 49 63
Direc­tion aux rela­tions internationales
Auré­lien Jacques
 +33 (0)3 44 23 44 23
Pôle par­te­na­riat

 +33 (0)3 44 23 44 23
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