Du 25 mai au 2 juin 2023, Claire Ros­si, direc­trice de l’UTC, accom­pa­gnée par Joan­na Daa­boul, direc­trice aux rela­tions inter­na­tio­nales, ont ren­du visite à l’université de Rhode Island, mais aus­si aux par­te­naires cana­diens de l’UTC.

Cette visite était stra­té­gique avec plu­sieurs enjeux et objec­tifs. En pre­mier lieu, ren­for­cer la mobi­li­té des étu­diants. Le gou­ver­ne­ment cana­dien a sup­pri­mé le finan­ce­ment des échanges d’étudiants, ce qui pousse les uni­ver­si­tés cana­diennes à voir à la baisse le nombre des étu­diants entrants chez eux. Ceci a un impact direct sur l’ensemble de leurs par­te­naires qui perdent des places d’échange.

Deuxiè­me­ment, il y a aujourd’hui un sou­hait poli­tique entre les deux pays pour ren­for­cer les col­la­bo­ra­tions en recherche, ce qui laisse espé­rer l’arrivée des appels à pro­jets se foca­li­sant sur une recherche fran­co-cana­dienne. Les uni­ver­si­tés cana­diennes sou­haitent col­la­bo­rer avec des éta­blis­se­ments qui par­tagent des valeurs com­munes, notam­ment sur l’équité, diver­si­té et inclu­sion. Ain­si, Claire Ros­si, avait deux objec­tifs prin­ci­paux : main­te­nir les places en échange pour nos étu­diants qui favo­risent cette des­ti­na­tion et lan­cer des pistes de col­la­bo­ra­tions en recherche tout en démon­trant l’adéquation de la stra­té­gie de l’UTC avec les attentes d’aujourd’hui de nos étu­diants, et de nos sociétés. 

La stra­té­gie de l’UTC a été très appré­ciée par les dif­fé­rents pré­si­dents et vice-pré­si­dents qui ont trou­vé des syner­gies fortes avec leurs propres stra­té­gies. En outre, le modèle unique de l’UTC est très attrac­tif avec sa modu­la­ri­té, inter­dis­ci­pli­na­ri­té, flexi­bi­li­té et lien fort entre sciences, tech­no­lo­gie, indus­trie et société.

Avant de visi­ter nos par­te­naires cana­diens, Claire Ros­si a ren­du visite à l’université de Rhode Island où elle a ren­con­tré le Dean du Col­lège of engi­nee­ring et son équipe ain­si que le pré­sident de l’université et ses vice-pré­si­dentes. Une visite riche en dis­cus­sions qui ont mon­tré un grand poten­tiel de col­la­bo­ra­tions en recherche entre nos deux uni­ver­si­tés. Par la suite, nous tra­vaillons sur la fina­li­sa­tion d’un double-diplôme pour le dépar­te­ment Ingé­nie­rie Méca­nique et sur des réunions vir­tuelles en recherche. Ce par­te­na­riat est très prometteur.