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Un modèle innovant

L’identité et la culture d’établissement ont pla­cé l’UTC à l’avant-garde depuis sa créa­tion. L’UTC demeure inno­vante, ima­gi­na­tive et reste un modèle de chan­ge­ment compte tenu des enjeux envi­ron­ne­men­taux et des impé­ra­tifs du monde socio-économique. 

Depuis tou­jours, la péda­go­gie et la recherche sont asso­ciées et forment les deux socles fon­da­men­taux de l'UTC.

La pédagogie

Choi­sir ses cours, les com­bi­ner, éla­bo­rer un pro­jet pro­fes­sion­nel… Avec la liber­té de choix qu'offre l'UTC, l'étudiant se com­pose un par­cours sur mesure. Une sou­plesse qui assure la par­faite cohé­rence entre goûts et ambi­tions. La liber­té du choix des UV au sein même du cur­sus semble depuis tou­jours attri­buer à l'étudiant-ingénieur UTC des qua­li­tés indé­niables dans ses prises de déci­sions. Faire émer­ger des com­pé­tences humaines, telle est l'ambition affi­chée de l'UTC.

Si les étu­diants choi­sissent l'UTC pour la qua­li­té de sa recherche et l'excellence aca­dé­mique qu'elle confère, nombre d'élèves-ingénieurs découvrent à l'UTC une inno­va­tion en matière de péda­go­gie, qui consiste à déve­lop­per la res­pon­sa­bi­li­té de l'étudiant en étant source de sens pour lui, à tra­vers la ges­tion de pro­jets, des tra­vaux de groupe, des stages et pro­jets d'entreprise …

L'objectif des Api est de créer un espace péda­go­gique com­plé­men­taire à celui exis­tant à l'UTC lors des périodes d'inter-semestre.

Les Api se déroulent chaque inter-semestre, hiver et été, pen­dant les deux semaines qui suivent la semaine des finaux.

Une Api se déroule en conti­nu pen­dant une semaine temps plein, en mode stage (ou une par­tie de semaine pour les demies-Api).

Ces acti­vi­tés (cré­di­tantes) per­mettent d'ini­tier ou d'appro­fon­dir, le temps de quelques jours, des com­pé­tences liées à des domaines ou des tech­no­lo­gies ciblés, en s'y consa­crant à temps plein, contrai­re­ment aux semestres classiques.

Elles peuvent revê­tir toutes formes (pro­jet enca­dré ou en auto­no­mie, chal­lenge…), elles peuvent être orga­ni­sées avec l'aide d'une asso­cia­tion étu­diante et leur varié­té offre une ouver­ture à tous niveaux d'étude (TC et Branches, sous réserve de pré­re­quis, s'il en est).

Les Api sont, de fait, un espace idéal pour les étu­diants, pour apprendre autre­ment, acqué­rir des connais­sances com­plé­men­taires ou sup­plé­men­taires, et pour les ensei­gnants et asso­cia­tions, par exemple pour for­ma­li­ser des appren­tis­sages ciblés ou inno­ver dans les méthodes pédagogiques.

Un maître mot domine actuel­le­ment le monde de l'enseignement supé­rieur : l'innovation péda­go­gique. Pion­nière dans le domaine à tra­vers le décou­page en semestres, la créa­tion des uni­tés de valeurs (UV) ou l'instauration des stages longs et des séjours à l'étranger, l'UTC a sans cesse, depuis sa créa­tion, recon­fi­gu­ré ses dis­po­si­tifs de for­ma­tion pour répondre aux évo­lu­tions socié­tales et aux besoins des entreprises. 

Sou­cieuse de la qua­li­té et de l'originalité de sa péda­go­gie, l'UTC a mis en place depuis 2008 une cel­lule d'appui péda­go­gique (CAP) dont la mis­sion est d'accompagner à la mise en œuvre des pro­jets péda­go­giques d'établissements. Arti­cu­lée en 3 pôles, (ingé­nie­rie péda­go­gique ; infor­ma­tique ; audio­vi­suel), ses objec­tifs sont de :

  • per­pé­tuer et pro­mou­voir la spé­ci­fi­ci­té et l'innovation péda­go­gique de l'UTC ;
  • accom­pa­gner la décli­nai­son poli­tique et stra­té­gique de l'établissement en matière de pédagogie ;
  • rendre plus lisibles les pra­tiques des ensei­gnants en place ;
  • faci­li­ter l'intégration du numé­rique au regard des pra­tiques exis­tantes et des besoins exprimés.

À la croi­sée d'un ser­vice uni­ver­si­taire de péda­go­gie et d'un ser­vice TICE (tech­no­lo­gies de l'information et de la com­mu­ni­ca­tion pour l'enseignement), elle a pour prin­ci­paux champs d'actions : 

  • la démarche d'amélioration conti­nue en formation ;
  • la for­ma­tion des ensei­gnants cher­cheurs et des doc­to­rants 16 ;
  • la for­ma­tion ini­tiale et continue ;

autour :

  • du domaine de la péda­go­gie et de la péda­go­gie numérique ;
  • des pro­jets issus de l'articulation avec les uni­ver­si­tés numé­riques thé­ma­tique (UNT) et l'université numé­rique en région Picar­die (UNR‑P) ;
  • de la mise en place et l'accompagnement à l'utilisation des outils numé­riques (pod­cast, Moo­dle, MOOCS, SPOCS …).

Un par­cours de for­ma­tion spé­ci­fique per­met de sen­si­bi­li­ser les ingé­nieurs aux métiers de la recherche, favo­ri­sant ain­si la mise en rela­tion des entre­prises avec les for­ma­tions doc­to­rales, pour lever les freins à l'embauche des doc­teurs. Ce par­cours orien­té « recherche », pro­po­sé à l'ensemble des étu­diants-ingé­nieurs de second cycle, consti­tue in fine un sup­plé­ment au diplôme d'ingénieur.

L'étudiant peut suivre, à son propre rythme, les élé­ments d'un par­cours com­por­tant trois volets : 

  • une décou­verte de la recherche d'abord, avec la visite de labo­ra­toires et la par­ti­ci­pa­tion à des confé­rences sur les métiers de la recherche … ; 
  • une pra­tique de la recherche ensuite, à tra­vers des tra­vaux expé­ri­men­taux, des stages de recherche ou des cours théo­riques d'approfondissement ;
  • les étu­diants peuvent enfin abor­der des dis­ci­plines comme la socio­lo­gie des sciences ou l'épistémologie, pour une meilleure com­pré­hen­sion de la recherche, de sa struc­ture et de son organisation. 

L'industrie veut avoir des com­pé­tences adap­tées à ses besoins. Le sché­ma clas­sique consiste à recru­ter des ingé­nieurs maî­tri­sant les fon­da­men­taux pour qu'ils acquièrent dans l'entreprise les savoirs spé­ci­fiques du métier. 

Mais, quand le métier pos­sède une base tech­nique et scien­ti­fique spé­ci­fique et consis­tante, la for­ma­tion en entre­prise peut prendre des pro­por­tions exces­sives, à la fois en termes de coût mais aus­si de capa­ci­té : trou­ver les for­ma­teurs, gérer des par­cours pédagogiques … 

La chaire d'enseignement et recherche appa­raît alors comme étant à la jonc­tion de ces besoins et per­met, de ce fait, l'émergence des com­pé­tences stra­té­giques de l'ingénieur bâtis­seur-créa­teur.

La recherche et la valorisation

La stra­té­gie de recherche et d'innovation de l'UTC est le reflet de la valeur ajou­tée col­lec­tive et des apports spé­ci­fiques de ses labo­ra­toires qui incarnent son cœur scien­ti­fique. Leurs com­pé­tences propres sont les axes de com­pé­tences scien­ti­fiques et tech­no­lo­giques qui illus­trent les savoirs et savoir-faire de l'UTC, et qui forment le socle « recherche » à par­tir duquel appa­raissent nos 3 axes d'innovation.

  • faire de la tech­no­lo­gie une science de plein droit ;
  • appor­ter une réflexion et un posi­tion­ne­ment sur des pro­blèmes posés et les inno­va­tions proposées ;
  • créer les condi­tions du « faire pour comprendre ». 

Les enjeux de la recherche à l'UTC sont donc multiples : 

L'UTC se donne les moyens d'avoir une réponse inté­grée sur un nombre res­treint de pro­blé­ma­tiques de réfé­rence en mobi­li­sant une grande diver­si­té de dis­ci­plines et com­pé­tences tech­ni­co-scien­ti­fiques. Ces pro­blé­ma­tiques, qui relèvent d'enjeux socié­taux et de dif­fi­cul­tés posées par les métiers, se concentrent à l'UTC autour de 3 axes d'innovation :

  • Trans­port intel­li­gent propre et sûr

› Les trans­ports de demain seront confron­tés à trois enjeux majeurs : l'environnement, la sécu­ri­té et les tech­no­lo­gies de l'information et de la communication. 

  • Tech­no­lo­gies bio-ins­pi­rées et déve­lop­pe­ment durable

› La nature résout des pro­blèmes, ins­pire à l'homme des solu­tions : com­ment imi­ter ses pro­cé­dés pour influer nos déci­sions dans un sou­ci de déve­lop­pe­ment durable ? 

  • Ingé­nie­rie et Santé

› En per­pé­tuelle évo­lu­tion au niveau mon­dial, le domaine des tech­no­lo­gies bio­mé­di­cales requiert la for­ma­tion d'acteurs réac­tifs et plu­ri­dis­ci­pli­naires à même de conce­voir, gérer et main­te­nir des pla­teaux tech­niques médi­caux performants. 

Cette poly­va­lence scien­ti­fique mobi­lise ain­si une grande diver­si­té de dis­ci­plines, néces­site de dis­po­ser de struc­tures d'animation dans les dif­fé­rents domaines et favo­rise des nou­veaux types de dia­logue avec nos par­te­naires ins­ti­tu­tion­nels et le monde socio-économique. 

L'UTC s'efforce de pro­mou­voir une recherche à la fois per­ti­nente dans un domaine don­né et ouverte aux inter­faces entre les dif­fé­rents domaines (trans­port et com­mu­ni­ca­tion, bio­lo­gie, ingé­nie­rie pour la san­té, méca­nique, infor­ma­tique et sciences humaines et sociales). Les pro­jets ain­si créés sont au cœur d'une recherche par­te­na­riale publique / pri­vée.

L'UTC adopte une logique de réseau qui cor­ro­bore ses thé­ma­tiques et pro­longe ses axes de déve­lop­pe­ment. Son ancrage ter­ri­to­rial, à tra­vers notam­ment sa forte par­ti­ci­pa­tion à la poli­tique régio­nale de recherche, per­met de construire des struc­tures d'ambition et de visi­bi­li­té natio­nales et internationales.

Des forces confirmées à développer

Dès sa créa­tion, l'UTC s'est ins­crit dans un conti­nuum entre for­ma­tion, recherche et inno­va­tion. L'UTC a ain­si déve­lop­pé plu­sieurs ini­tia­tives qui sont autant de leviers de métis­sage pour l'étude, la com­pré­hen­sion et la ges­tion des nou­velles com­plexi­tés technologiques.

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